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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

Regards sur Serge Tisseron. De la tintinologie à la robotique.

Publié le 22 Novembre 2019 par Anaïs BERNARD dans conférence

 Regards sur Serge Tisseron. De la tintinologie à la robotique.

Psychiatre, psychanalyste, docteur en psychologie habilité à diriger des thèses et membre de l’Académie des technologies, Serge Tisseron est aussi dessinateur et photographe.

Dès la présentation de sa thèse de médecine sous forme de bande dessinée, il s’est attaché à montrer que les images sont une forme de symbolisation du monde à part entière, au même titre que le langage parlé ou écrit. Après avoir travaillé sur les secrets de famille et nos relations aux images, ses recherches portent actuellement sur les bouleversements psychiques et sociaux entraînés par les technologies numériques et robotiques. Il a créé en 2013, l’Institut pour l’Étude de la relation Homme-Robot.

En 2018, il a fait don de ses archives à la BnF qui a souhaité rendre hommage à cet intellectuel éclectique, transdisciplinaire, inclassable et visionnaire, en lui consacrant une journée d'études.

"Regards sur Serge Tisseron. De la tintinologie à la robotique."
Samedi 30 novembre 2019 de 13h30 à 19h30.
Entrée libre et gratuite.
Voir le programme complet : au lien ci-dessous.

En partenariat avec les Éditions Albin Michel, les Editions Dunod, et l’Académie des technologies.

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Festival bruits blancs #9

Publié le 21 Novembre 2019 par Anaïs BERNARD dans festivals

Festival bruits blancs #9

Fstival bruits blancs #9
derek holzer cate hope & lisa mackinney antoine schmitt et hortense gauthier
Jeudi 28 novembre à 20h30

Créé en 2011 le festival Bruits Blancs propose des performances et rencontres entre compositeurs - musiciens, créateurs vidéo et écrivains - où sont explorées toutes les formes d’expressions nées des nouvelles technologies et du numérique.

Le Festival propose un parcours entre plusieurs lieux en Île-de- France : Anis Gras (Arcueil), Le Cube (Issy-les-Moulineaux), la Muse en Circuit (Alfortville) et en province Scènes Croisées (Mende), CDN (Montpellier), Vent des Signes (Toulouse), mus par la volonté de diffuser cet esprit de découvertes et d’échanges sur un plus large territoire.

derek holzer – Vector synthesis
Vector Synthesis est un projet artistique, numérique et audiovisuel utilisant les techniques de la synthèse sonore et de l’image vectorielle.

cat hope & lisa mackinney - Super luminum
Super Luminum, duo d’improvisation guitare électrique / basse, originaire de Melbourne en Australie, proposera une expérience live, immersive et saisissante.

hortense gauthier & antoine schmitt - Climax
Climax est une performance interactive qui sonde les potentiels de la sensualité à l'ère du numérique.

tarif : Gratuit sur réservation

Production : Ecarts Anis Gras - Arcueil

Coproduction : La Muse en Circuit - Alfortville, Le Cube - Issy les Moulineaux , Scènes Croisées de Lozère, Théâtre de la Vignette - Montpellier

En partenariat avec L’Hiver Nu - Lanuéjols, Rudeboy Crew - Bagnols-les-Bains et La Cie d’Autres Cordes et avec le soutien de Dicream, Arcadi, DRAC IDF, Spedidam,Sacem, SACD

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Identité numérique

Publié le 20 Novembre 2019 par Anaïs BERNARD dans conférence

Identité numérique

conférence
Identité numérique: la construction de son identité numérique : mettre en scène son e-moi-professionnel
Mercredi 27 novembre de 17h30 à 19h

L’espace numérique a créé de nouveaux modes de communication et d’échange d’information de plus en plus présents dans notre quotidien. Nos relations aux autres et à soi ont été bouleversées. Plus particulièrement, le processus de construction identitaire a trouvé dans les réseaux sociaux des espaces privilégiés pour se développer. Lieu d’affirmation de sa singularité, de construction de la meilleure impression de soi possible, le cyberespace est le théâtre de nouvelles représentations du moi privée et professionnel. Contrôlons-nous bien cette identité numérique ? Quelles stratégies sont à l’oeuvre pour soigner son e-réputation ?

 

tarif : Gratuit sur réservation

Le M95 est un lieu d'innovation de GRDF co-animé par le Cube Inscription obligatoire, une pièce d'identité vous sera demandée à l'entrée du lieu

95 rue de Maubeuge 75010 Paris

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APPEL À PROJET: CARTE BLANCHE à CASTEL COUCOU

Publié le 19 Novembre 2019 par Anaïs BERNARD dans appel à projets

APPEL À PROJET: CARTE BLANCHE à CASTEL COUCOU

Castel Coucou et la maison de l'architecture de Lorraine collaborent pour créer une exposition inédite.


> Association de créations contemporaines, Castel Coucou organise des expositions et des résidences de jeunes artistes en veillant à instaurer une réelle proximité avec les artistes et les publics.
L'association a pour ambition de sensibiliser la population à la création contemporaine en relation avec la vie de tous les jours (design, mode, architecture…). Il s’agit de prendre conscience de l’importance de la création culturelle et des liens qu’elle tisse entre les populations à travers des problématiques communes. De plus l’intervention de jeunes artistes pour animer des ateliers d’arts plastiques permet de favoriser l’ouverture à la création artistique actuelle.
> La maison de l'architecture de Lorraine est une association à but non lucratif, créée en 2008 sous l’impulsion du Ministère de la Culture et du Conseil régional de l’ordre des architectes de Lorraine. Elle est reconnue d’intérêt général à vocation culturelle depuis 2015.
Pour répondre à sa mission de diffusion de la culture architecturale auprès de tous les publics, la maison de l’architecture de Lorraine développe une programmation culturelle annuelle, organisée autour d’événements variés et accessibles au grand public : conférences, expositions temporaires, ateliers, festival du film d’architecture…


Type de projet envisagé : CARTE BLANCHE à CASTEL COUCOU
Le projet devra être une création in situ dialoguant avec l'architecture de la synagogue.
Il devra lier l'approche textuelle et conceptuelle du lieu.
Notre volonté est de laisser une liberté de création pour la conception d'une exposition au sein de l'ensemble de l'espace du Castel Coucou.
Le projet devra être accompagné de deux propositions ou pistes de réflexions:
• un workshop à mener avec des étudiants d'école d'art ou des étudiants en scénographie sur une durée d'une semaine.
• un atelier jeune public qui sera mené durant le temps d'exposition et développé par l'équipe du Castel Coucou, en présence ou non de l'artiste.

Budget :
Le budget pour ce projet est de 2 600 euros TTC. Il inclut les frais de production de l’œuvre, les honoraires artistiques - comprenant les éventuelles cessions de droits - et les frais de transport de l'artiste.
L’artiste devra être en mesure de produire une facture pour pouvoir candidater au projet et pourra demander le versement d'un ou plusieurs acomptes sur présentation de facture.

Engagements :
L’artiste s’engage à être présent lors du montage et du démontage de l’exposition/installation, du vernissage ainsi que sur toute la durée du workshop.

Critères de sélection :
La sélection du projet sera effectuée par l'équipe - les membres du bureau de la maison de l’architecture et l'équipe de Castel Coucou - selon les critères suivants :
• Cohérence avec les objectifs de la maison de l’architecture et de Castel Coucou en termes de médiation autour de l’architecture, destiné à un large public.
• Cohérence en termes de mise en relation de l’œuvre avec le site d’exposition.
• Faisabilité technique et respect de l’enveloppe budgétaire.
• Être diplômé d'un cursus artistique depuis moins de 5 ans.

Calendrier :
• Clôture de l'appel à projet : vendredi 20 décembre 2019
• Sélection du projet final : vendredi 3 janvier 2020
• Vernissage : vendredi 3 avril 2020
• Exposition : du 3 avril au 15 mai 2020
• Démontage : du 16 au 18 mai 2020

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Fixin, de sylvain darrifourcq

Publié le 18 Novembre 2019 par Anaïs BERNARD dans Artiste, exposit

Fixin, de sylvain darrifourcq

jeudi 21 novembre
20h30

Le mouvement transhumaniste vise un but particulier : augmenter nos capacités intellectuelles et physiques. Mais que se passe t-il lorsqu’un un artiste applique les progrès techno-scientifiques sur le corps d’un musicien ?

FIXIN est une performance qui met en scène un corps de musicien « augmenté » par une multitude de moteurs commandés numériquement. Elle questionne le rapport du corps à l’automatisation et à la répétition du geste à travers un univers sonore minimaliste et immersif.

Dans la continuité des recherches ouvertes avec le MILESDAVISQUINTET! Sylvain Darrifourcq construit une sorte de « méta-batterie » dont les éléments (toms, caisses claires, cymbales…) pour certains préparés et stimulés par des moteurs (percuteurs solénoïde, vibreurs, moteurs rotatifs) ; sont éparpillés dans l’espace.

L’enjeu est de faire dialoguer ces moteurs avec le geste du musicien en un aller-retour permanent entre la machine et le corps à travers le double paradoxe de la mécanisation du geste humain et l’humanisation de la machine (programmation assistée par ordinateur) en posant la question du « qui influence qui ? » Le résultat sonore est proche d’une musique industrielle : timbres métalliques, mécanique répétitive, superposition des couches rythmiques.

Plongé dans l’obscurité, le dispositif se révèle petit à petit grâce à un dispositif lumineux minimaliste et épileptique ne dévoilant que rarement l’ensemble du plateau.

 

Le Cube
20 cours Saint-Vincent
92130 Issy-les-Moulineaux

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NATURE ILLUSOIRE - MONDES NUMÉRIQUES

Publié le 17 Novembre 2019 par Anaïs BERNARD dans exposit

NATURE ILLUSOIRE - MONDES NUMÉRIQUES

NATURE ILLUSOIRE - MONDES NUMÉRIQUES
EXPOSITION COLLECTIVE
Musée de la maison Sinclair, Bad Homburg vd Höhe, Allemagne

Logiciel : Claude Micheli

Nature illusoire
Musée des mondes numériques Sinclair-Haus
Bad Homburg vd Höhe - Allemagne
10 novembre 2019 au 2 février 2020

 

Le monde d'aujourd'hui ne peut être imaginé sans les médias numériques, qui ont une influence déterminante sur la réalité de la vie au XXIe siècle. Cependant, la base technique de leur développement remonte au siècle dernier: l'ordinateur a été développé dans les années 1940 en tant que machine conçue principalement pour effectuer des calculs complexes et ne devait pas être un outil artistique à l'origine. Cependant, au cours des années 1960, lorsque les premières images graphiques ont été générées par ordinateur, les possibilités artistiques ont rapidement été intégrées. Les premiers dessins sur ordinateur ont jeté les bases d'une nouvelle manière de générer des images dans les arts. Depuis, cette nouvelle méthode a profondément influencé notre sensibilité esthétique.

Dans son exposition «Nature illusoire. Mondes numériques », le musée Sinclair-Haus présente des œuvres d'artistes contemporains qui utilisent des compositions numériques pour aborder un sujet d'art traditionnel, à savoir la nature. Les résultats sont des endroits virtuellement composés de désir dont l'idylle est cependant souvent perturbée par l'hyper-réalité froide de l'animation artificielle. Ces paysages numériques semblent à la fois étrangers et familiers. Dans leurs œuvres, les artistes explorent les frontières entre réalité et image, questionnant la perception humaine du monde. L'exposition présente des œuvres numériques sur le thème de la «nature» des années 1960 à nos jours.

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Avenirs Numériques

Publié le 16 Novembre 2019 par Anaïs BERNARD dans Evenement, evenement

Avenirs Numériques

Journée Avenirs Numériques 
Samedi 23 novembre
Avenirs Numériques : une journée pour s’informer et découvrir en famille les cultures numériques !

Qu’est-ce qu’un territoire intelligent ? Comment crée-t-on un jeu vidéo ? Quel est le fonctionnement d’un robot ? Le code, c’est quoi ? Quels sont les impacts et enjeux des technologies numériques dans nos métiers et secteurs ? Pourquoi parle-t-on d’intelligence artificielle ? Comment concilier révolution numérique et préservation des libertés individuelles ? La réalité va-t-elle dépasser la fiction ? …

 

A travers des interventions courtes, des démonstrations et ateliers pratico-ludiques, Angers Loire Métropole et les établissements d’enseignement supérieur et recherche d'Angers Loire Campus, ainsi que de nombreux partenaires, vous proposent une grande journée d'échanges et découverte de la (r)évolution numérique. 

 

Comprendre les technologies qui nous entourent, apprendre en s’amusant, partager et réfléchir avec les autres : construisons ensemble nos Avenirs Numériques !

LA programmation complète au lien ci-dessous.

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Des images 3D tactiles et sonores

Publié le 15 Novembre 2019 par Anaïs BERNARD dans actualite, actualité

Des images 3D tactiles et sonores

Des chercheurs du Sussex ont mis au point un appareil qui affiche des objets animés en 3D pouvant parler et interagir avec les spectateurs. Mieux encore, il est possible de le toucher et de l'entendre grâce à l'utilisation d'une bille de polystyrène. 

Une équipe de chercheurs de l'université du Sussex vient de créer le premier hologramme tactile qu'ils ont dévoilé dans un article publié dans Nature. L'un des principaux obstacles aux systèmes d'affichage en 3D a été de trouver un élément physique sur lequel projeter la lumière pour créer l'image. Certains systèmes utilisent la fumée, mais les chercheurs ont innové en utilisant une simple bille de polystyrène.

Le système fonctionne grâce à deux plaques placées en dessous et au-dessus de l'affichage, contenant des grilles de haut-parleurs qui émettent des ultrasons. Ceux-ci créent une poche d'air qui piège la bille en polystyrène qui se trouve alors en lévitation. En manipulant les ultrasons, les chercheurs sont parvenus à déplacer la bille à grande vitesse.


En se déplaçant à une vitesse qui peut atteindre 8,75 mètres par seconde, ou environ 32 km/h, une seule bille de 2 mm de diamètre dessine la forme de l'objet à afficher dans l'air de manière suffisamment rapide pour que le cerveau humain ne perçoive qu'un objet continu. Il est ensuite éclairé par des LED colorés pour produire l'image finale.

De plus, les chercheurs sont parvenus à produire des sons en faisant vibrer la bille en polystyrène. En évitant d'avoir recours à des haut-parleurs intégrés à la base du système, le son provient directement de l'objet et augmente ainsi l'effet de réalisme. Le dispositif utilise également les ultrasons pour créer des effets tactiles en stimulant la peau, donnant l'impression de pouvoir toucher les objets. Les chercheurs indiquent qu'ils pourraient manipuler plusieurs billes simultanément, et ils envisagent une utilisation pour l'impression 3D ou la médecine, afin de manipuler de minuscules gouttelettes sans les toucher.

Très présents dans les récits de science-fiction, les hologrammes en 3D sont désormais techniquement réalisables et pourraient même prochainement arriver dans nos smartphones et tablettes tactiles. Parmi les solutions techniques figure l'accélération laser-plasma qui a l'avantage de créer des hologrammes visibles sous tous les angles. L'année dernière, nous avions déjà parlé du système d'hologrammes par laser de la société japonaise Burton, capable de produire des objets en 3D flottant dans l'air. Chaque voxel (pixel en trois dimensions) composant l'image est un plasma lumineux produit par un laser qui, focalisé par une lentille, surchauffe les molécules d'oxygène et d'azote dans un volume très petit. Ces lasers pulsés travaillent à l'échelle de la nanoseconde.

Or, à cette fréquence, l'énergie du plasma est si élevée qu'elle peut brûler la peau si l'on touche l'hologramme. Mais au Japon, le Digital Nature Group (DNG), une équipe composée de chercheurs des universités de Tokyo, Tsukuba, Utsunomiya et de l'institut de technologie de Nagoya, a trouvé le moyen de produire des hologrammes en 3D que l'on peut toucher et même ressentir. Selon les spécialistes qui s'expliquent dans leur article scientifique à lire sur arXiv, pour que la pulsation laser ne soit pas dangereuse pour la peau, il faut que sa durée soit inférieure à deux secondes. Pour cela, ils ont donc accéléré la vitesse de la projection en passant à des lasers dits femtoseconde (une femtoseconde valant 10-15 seconde).

Le système se compose d'un modulateur spatial de lumière qui dirige les rayons laser à travers une série de lentilles, d'un miroir et d'un scanner galvanométrique pour contrôler avec précision la projection. Une caméra placée à hauteur de l'hologramme détecte les mouvements afin que l'image réagisse au toucher. Les pulsations laser, comprises entre cinquante millisecondes et une seconde, ne provoquent pas de brûlure. Et, lorsqu'un doigt entre en contact avec l'hologramme, le plasma génère des ondes de choc qui produisent une sensation de toucher. Selon le professeur Yoichi Ochiai, qui dirige ce projet, l'effet ressenti serait proche de celui d'un contact avec du papier de verre.

Ces hologrammes 3D ont une résolution de 200.000 points par seconde. Pour le moment, ils sont minuscules puisque leur volume ne dépasse pas les huit millimètres cubes. À l'heure actuelle, il s'agit avant tout de ce que les chercheurs appellent une preuve de concept, illustrant la faisabilité. Pour qu'une telle technologie puisse déboucher sur des applications concrètes, il va falloir augmenter la taille d'affichage -- et par conséquent celle du dispositif de projection -- avec un travail spécifique sur le modulateur spatial de lumière. C'est ce à quoi les chercheurs du DNG disent vouloir s'atteler, sans livrer de feuille de route précise.

Schéma décrivant le dispositif de projection utilisé, ainsi que quelques formes créées par l’appareil. Crédits : Ryuji Hirayama et al. 2019

Schéma décrivant le dispositif de projection utilisé, ainsi que quelques formes créées par l’appareil. Crédits : Ryuji Hirayama et al. 2019

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Mapping d'hiver sur la Cathédrale de Metz

Publié le 14 Novembre 2019 par Anaïs BERNARD dans Mapping

Mapping d'hiver sur la Cathédrale de Metz

Un mapping aura lieu cet hiver pour célébrer en grande pompe les 800 ans de la cathédrale. Celui-ci retracera les huit siècles de construction de la cathédrale et rendra hommage aux bâtisseurs et artistes vitraillistes.

À la tombée de la nuit, à partir du 21 novembre et jusqu’au 5 janvier 2020, pendant les festivités des Noëls de Moselle, les messins pourront assister à un spectacle exceptionnel, conçu et réalisé par Artslide.

Ce vidéo-mapping est une création originale, réalisée sous la maîtrise d’œuvre du Département de la Moselle et produite par l’agence culturelle Moselle Arts Vivants, avec le soutien technique de la Ville de Metz et le soutien financier du programme européen INTERREG « Pierres Numériques-Digitale Steine ». Informations pratiques

Dates et horaires
Du 21 novembre 2019 au 5 janvier 2020

Les jeudis, vendredis, samedis et dimanches
à 19h, 19h30, 20h, 20h30 et 21h
sauf les 7 et 8 décembre

Lieu
Cathédrale de Metz
Place Jean-Paul-II
57000 Metz

Gratuit

 

La lanterne du Bon Dieu

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PROJET ÉMERGENT POUR LA RELÈVE DES ARTS NUMÉRIQUES / APPEL DE DOSSIERS

Publié le 13 Novembre 2019 par Anaïs BERNARD dans appel à projets

PROJET ÉMERGENT POUR LA RELÈVE DES ARTS NUMÉRIQUES / APPEL DE DOSSIERS

Montréal, le 5 novembre 2019 – perte de signal lance un appel de dossiers pour son programme de parrainage Projet émergent pour la relève des arts numériques qui offre un soutien aux artistes émergents  et constitue une réelle opportunité dans leur développement professionnel.

Le programme « Projet émergent » est le premier programme de recherche création développé par perte de signal. Créé en 2002, il a permis depuis à de nombreux artistes d’amorcer leur carrière professionnelle, notamment Jonathan Villeneuve, Karine Payette, Nelly-Ève Rajotte, et accueillait en 2016 les artistes Lucas Paris, Pascale Leblanc-Lavigne et Roby Provost-Blanchard. Leur projet final « Transposition » était notamment présenté en octobre 2019 au festival allemand Lab30.

Le Projet émergent est un programme de parrainage. À mi-chemin entre la commande d’œuvre et la résidence, il offre un soutien à un groupe d’artistes émergents dans le développement, la production, la présentation et la promotion d’un projet artistique collectif d’envergure en nouveaux médias sur une période d’un à deux ans.

En 2002, l’idée de développer ce programme est venue suite à l’observation du cheminement difficile des jeunes artistes entre la fin de leurs études et le début de leur carrière artistique professionnelle. Projet émergent vise à les assister pendant cette période de transition en offrant un encadrement leur permettant d’acquérir une expérience artistique professionnelle. Le projet requiert une implication des artistes dans le développement global du projet, tant dans la recherche de financement, l’idéation, la production et la recherche d’un lieu de diffusion que dans la promotion du projet. Cette particularité fournit aux artistes participants les outils pour poursuivre leur carrière artistique professionnelle, outils qui leur permettront non seulement de mener à terme une idée artistique, mais aussi un projet dans son ensemble. Ainsi, le parrainage qu’offre l’organisme est d’ordre logistique et financier, le contenu artistique étant entièrement entre les mains des artistes participants.

[ Les demandes doivent être déposées avant le 15 décembre 2019. Les candidatures peuvent être individuelles ou collectives. Les demandes d’information et les dossiers de candidatures doivent être soumis par voie électronique à rustines@perte-de-signal.org. Les demandes peuvent être soumises en français ou en anglais. Les candidats sont sélectionnés par le comité Rustines de perte de signal. ]

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