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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

Start To Play 2018 – Le Festival du Jeu Vidéo de Strasbourg

Publié le 31 Juillet 2018 par Anaïs BERNARD dans festivals

Start To Play 2018 – Le Festival du Jeu Vidéo de Strasbourg

Start To Play revient du 24 au 26 août 2018 dans un nouveau lieu au CCI Campus Alsace à Strasbourg avec une surface de jeu plus grande, un auditorium de 300 places pour les tournois et les shows, un parking gratuit, accès en tram et bus facile et de nombreuses nouveautés et surprises ! Le festival reste fidèle à son concept : replonger le public dans l’univers des jeux vidéo à travers plusieurs animations. Amateurs et/ou confirmés, en famille ou entre amis venez vous affronter et vous amuser sur les différentes consoles de la Gaming Zone.

Cette année nous avons la chance d’avoir Marcus qui rejoint la programmation !

Programme:
– Gaming Zone en libre accès
– Rétrogaming / Zone PC
– Tournois / Helios Gaming Events, Le circuit E-sport du Grand Est
– Bornes d’arcades
– Espace jeux indépendants
– Réalité virtuelle
– Démonstrations / Challenges avec nos invités
– Zone StreetPass
– Village exposant
– Exposition
– Concert

Invités:
– Marcus
– Fred of The Dead
– FFVIMan

Restauration sur place

Horaires :
Vendredi 24 août de 10h00 à 22h00
Samedi 25 août de 10h00 à 22h00
Dimanche 26 août de 10h00 à 18h00

Entrée libre

Accès:
En tram : en partant du centre-ville, prendre la ligne A (direction Lixenbuhl) ou la ligne E (direction Baggersee). Descendre à l’arrêt Emile Mathis.
En voiture : sur l’autoroute A35, prenez la sortie N°5 Baggersee-Illkirch, puis à gauche au feu devant l’hypermarché « Auchan ». A 1 km environ, vous trouverez CCI Campus sur votre gauche.

Start To Play 2018 – Le Festival du Jeu Vidéo de Strasbourg
Du vendredi 24 août au dimanche 26 août 2018
CCI Campus Alsace
234 avenue de Colmar à Strasbourg

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MUTEK 2018 @ SAT

Publié le 30 Juillet 2018 par Anaïs BERNARD dans festivals

MUTEK 2018 @ SAT

Chevauchant la fin de l’été et la rentrée automnale, MUTEK investira le Quartier des spectacles pour une 19e édition qui se tiendra du 22 au 26 août. Depuis ses débuts, le festival accorde la priorité aux prestations live de musiques électroniques et audiovisuelles, soulignant l’instantanéité et l’ingéniosité des pratiques artistiques contemporaines auxquelles se fusionne la technologie. Cette édition mettra également l’accent sur la place des femmes dans les arts numériques et la musique électronique avec une forte représentation d’artistes féminines sur scène ainsi qu’un symposium de deux jours explorant cette thématique. Reconnu pour sa rigueur artistique et son approche curatoriale s’illustrant par des prestations de qualité, s’inspirant autant des talents internationaux que locaux et visant toujours à offrir révélations et découvertes aux festivaliers, MUTEK Montréal continue d’œuvrer dans un esprit communautaire et à l’échelle humaine.

Toutes la programmation au lien ci-dessous.

En 19 ans, MUTEK Montréal s’est imposé comme un rendez-vous incontournable de la musique électronique et alternative au Québec. Il se démarque par la qualité et l’originalité des artistes qu’il met en vedette.

En plus d’être un tremplin pour nos artistes qui visent les marchés et les auditoires internationaux, ce rendez-vous stimule l’innovation et contribue à la renommée de Montréal sur la scène technologique et culturelle. Voilà pourquoi le gouvernement du Canada est heureux de l’appuyer cette année encore.

À titre de ministre du Patrimoine canadien, je remercie tous ceux et celles qui ont consacré temps et efforts à la présentation de ce 19e MUTEK. Je vous offre mes meilleurs vœux pour un festival des plus réussis.

L'Honorable Mélanie Joly, Ministre du Patrimoine canadien

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Aventures chez les transhumanistes : Cyborgs, techno-utopistes, hackers et tous ceux qui veulent résoudre le modeste problème de la mort

Publié le 29 Juillet 2018 par Anaïs BERNARD dans ouvrage, Ouvrage

Aventures chez les transhumanistes : Cyborgs, techno-utopistes, hackers et tous ceux qui veulent résoudre le modeste problème de la mort

Présentation de l'éditeur
Le transhumanisme peut sembler aussi bien porteur d'un immense espoir que terrifiant. Voire totalement absurde... Son but étant d'" améliorer " la condition humaine - le corps et l'esprit - jusqu'au stade où maladie, vieillesse et mort appartiendront au passé, le futur que prônent ses adeptes relève pour l'instant de la science-fiction. Mais ils sont de plus en plus nombreux, notamment parmi les dirigeants de la Silicon Valley, à croire que l'homme vaincra la mort et à plancher sur la question. Fasciné par ce mouvement en plein essor, le journaliste et essayiste irlandais Mark O'Connell est parti à leur rencontre. Au fil de son enquête au long cours, il a fait la connaissance des figures majeures du mouvement et a exploré les lieux où ils élaborent leurs projets : laboratoires ultramodernes, espaces de stockage cryonique, caves dédiées au biohacking... On y croise des tenants du téléchargement de l'esprit, des immortalistes, des programmeurs informatiques redessinant le monde dans leur coin ou encore des développeurs de robots de guerre. Aventures chez les transhumanistes dévoile les facettes glaçantes de cette galaxie en pleine expansion.


Biographie de l'auteur
Mark O'Connell est un journaliste et essayiste irlandais dont les travaux sur le transhumanisme ont été publiés dans Slate, le New Yorker et le New York Times Magazine.

 

Mark O'Connell, 2018, Aventures chez les transhumanistes : Cyborgs, techno-utopistes, hackers et tous ceux qui veulent résoudre le modeste problème de la mort, L'Echappée, 270 pages, 20.00 euros.

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Les corps à l’affiche

Publié le 28 Juillet 2018 par Anaïs BERNARD dans appel a communications, Appel à communications

Les corps à l’affiche

SÉMINAIRE INTERDISCIPLINAIRE: « Les corps à l’affiche »
UNIVERSITÉ BORDEAUX MONTAIGNE, MAISON DE LA RECHERCHE
20 novembre 2018
 

Dans notre société moderne, le corps est un outil comme un autre : outil commercial, outil marketing, outil professionnel. Il s’affiche, il est admiré, critiqué, rejeté. Il est au cœur de nombreux débats, est l’objet de recherches académiques et universitaires. Un corps voilé est décrié, un corps dénudé tout autant. Pas trop, pas assez. Le paradoxe est que le corps de la femme est d’autant plus la cible des critiques dans un monde pourtant hyper-érotisé : le corps fin et parfait d’une femme pour vendre un yaourt ou un gel douche, les stars de la pop musique mettant leurs corps en scène dans une esthétique porno chic, des artistes trouvant leur inspiration dans ce corps qu’ils subliment… art, provocation marketing ?

Il y a certes une esthétisation de la société, mais à se retourner sur des civilisations anciennes ou des peuples en marge du système capitaliste, on remarque que le corps est toujours un enjeu, un « lieu », un outil, un « objet » à embellir ou à enlaidir.  Le corps est, par essence, la base de l’homme. Mais qu’en a-t-il fait ? Qu’en fait-il ? La dichotomie d’AVOIR et d’ÊTRE. Je ne veux pas AVOIR pour paraître, mais je veux ÊTRE : cet « ÊTRE » peut-il lui même se subdiviser entre corps et âme ? Le corps EST, qu’on l’entende, mais doit-il être réduit à ses caractéristiques sexuées ?

Ce séminaire interdisciplinaire a pour dessein d’interroger le rapport de la société au corps. Nous attendons des communications visant à analyser ce phénomène des corps à l’affiche : qu’il s’agisse des médias, de l’art visuel, l’art scénique, la musique, la littérature, l’histoire, la sociologie, l’anthropologie, la science des religions… plus les disciplines seront représentées plus la vision de l’histoire des corps sera large et intéressante. Il s’agira d’avoir une vision d’ensemble pour chaque discipline. 

Ce workshop sera construit autour de l’exposition d’une artiste-photographe qui présentera son travail lors d’une table ronde.

Les interventions des autres participants - qui pourront également sortir du cadre traditionnel s’ils le souhaitent - dureront 30 minutes + 10 minutes de questions. Chaque intervenant s’engage à rester toute la journée.

Petit-déjeuner et déjeuner sont pris en charge. 

Date limite de soumission des propositions :

Les propositions de communication sont à envoyer, uniquement sous format pdf, avant le 1er septembre 2018 à l’adresse suivante :

seminairecorps.bordeaux@gmail.com

Les propositions devront se présenter ainsi :

— Première page : Prénom, Nom, adresse, statut, axes de recherche (sujet de thèse le cas échéant…), rapide biographie  ;

— Seconde page : la proposition de communication.

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Arts et Personnalité : Enjeux et influences sur la création et la réception des œuvres

Publié le 27 Juillet 2018 par Anaïs BERNARD dans appel a communications, Appel à communications

Arts et Personnalité : Enjeux et influences sur la création et la réception des œuvres

Journée d'études : "Arts et Personnalité : Enjeux et influences sur la création et la réception des œuvres" (Rennes 2)

Organisée par Adam Evrard et Baptiste Pilo (Université Rennes 2, EA 1279).


DATE ET LIEU DE LA JOURNÉE D'ÉTUDE: 16 NOVEMBRE 2018, RENNES
DATE LIMITE DES PROPOSITIONS: 1er SEPTEMBRE 2018

 

PRÉSENTATION

Roland Barthes écrit en 1967 dans son célèbre texte La mort de l’auteur : « Donner un Auteur à un texte, c’est imposer à ce texte un cran d’arrêt, c’est le pourvoir d’un signifié dernier, c’est fermer l’écriture ». Un an plus tard, Michel Foucault reprend cette idée sous la formule « Qu’importe qui parle ? », en soulignant que cette réflexion peut être étendue à d’autres « disciplines ».

Cinquante ans plus tard, quelle influence l’artiste, en tant que personnalité, possède-t-il sur l’analyse, la diffusion, la réception et la postérité de ses œuvres ? Nous définissons le terme « personnalité » en ce sens : ce qui constitue la personne, qui la rend physiquement, intellectuellement et moralement distincte de toutes les autres, avec une originalité plus ou moins accusée.

Dans le cadre de cette journée d’étude, les relations entre œuvres et personnalité feront l’objet de réflexions dans l’ensemble des domaines d’études de la création artistique : l’histoire de l’art, les études théâtrales et cinématographiques, la musicologie, la littérature. Ces enjeux se posent de la création de l’œuvre à sa réception et concernent toutes les périodes, de l’Antiquité à l’extrême-contemporain. Les propositions peuvent présenter des études thématiques, à l’exemple des recherches autour des mythes du génie ou de la folie menées en histoire de l’art. Elles peuvent également prendre la forme d’étude de cas à la manière des stratégies biographiques et relationnelles chez Francis Poulenc exposées par Hervé Lacombe[4].

Ainsi, nous invitons les propositions de communication à réfléchir autour de ces axes (non limités, suggestions bienvenues) :

  • L’importance des récits et des discours, notamment biographiques, des artistes;
  • La légitimité des auto-interprétations par les artistes ;
  • Les stratégies de diffusion et de pérennisation des œuvres;
  • La place accordée à la personnalité dans un domaine d’étude artistique donné (cinéma, musicologie, etc.).

 

CONTRIBUTIONS

Les propositions sont à envoyer pour le 1er septembre 2018 à l’adresse suivante : labo.doc.hca@gmail.com.

Elles ne devront pas dépasser les 350 mots. Les communications sont limitées à vingt minutes, accompagnées de dix minutes d’échanges.

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L'art au-delà du digital

Publié le 26 Juillet 2018 par Anaïs BERNARD dans ouvrage, Ouvrage

L'art au-delà du digital

Présentation de l'éditeur
Le numérique s'est immiscé dans toutes les sphères, privées, publiques et professionnelles, de nos sociétés et les a façonnées. Depuis toujours, les artistes, se saisissent des techniques ou technologies de leur temps afin d'en témoigner. A chaque innovation détournée correspondent ainsi des oeuvres, mais il faut du temps au monde de l'art pour intégrer de nouvelles pratiques comme de nouveaux médias. Impatients, les plus fervents défenseurs de l'art numérique se sont structurés en communautés à l'international en organisant des événements dédiés. Leurs pratiques arrivent aujourd'hui à maturité et le public est culturellement prêt à accueillir leurs créations comme il le fait déjà au sein de festivals. On remarque, dans un même temps, les premiers signes d'une acceptation du digital dans l'art au travers des institutions comme sur le marché dont on sait la position dominante. L'objet de ce livre est d'étudier les oeuvres des pratiques actuelles sans se focaliser sur leur part de numérique. De les analyser dans le contexte de leur monstration en les assemblant pour qu'ensemble elles dialoguent. Afin de démonter que le numérique n'est autre qu'un médium de l'art contemporain dont il convient toutefois de considérer les spécificités.


Biographie de l'auteur
Dominique Moulon, docteur en arts plastiques, critique d'art spécialisé dans l'art numérique, commissaire d'expositions, enseigne la création numérique dans plusieurs écoles d'art et de communication. Il a notamment publié chez Scala, Art contemporain nouveaux médias (2011) et L'Art et le numérique en résonance (2015).

 

Dominique Moulon, 2018, L'art au-delà du digital, Nouvelles éditions Scala, 287 pages, 25.00 euros.

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Spectacle vivant et dispositifs technologiques

Publié le 25 Juillet 2018 par Anaïs BERNARD dans appel a communications, Appel à communications

Spectacle vivant et dispositifs technologiques

Theatre in Progress est une jeune association dédiée à la recherche et la création théâtrale en lien avec les technologies. Elle souhaite donner la parole aux critiques et observateurs de spectacles à composante technologique. La programmation des théâtres canadiens, américains et européens réserve une place de plus en plus importante à ce type de mise en scène et nous souhaitons leur donner un regard analytique immédiat sous forme de critiques (et non pas de texte scientifique) soigneusement écrites. Chaque texte sera soumis à un comité de lecture composé de 4 chercheurs universitaires qui le valideront pour la publication.

 

Nous demandons trois formats de textes :

  • Critique qui tente de saisir les enjeux de la mise en scène, le jeu des acteurs, la spécificité scénographique, et surtout la manière d’intégrer la technologie dans le travail scénique. La longueur du texte peut se situer entre 8.000 et 12.000 signes espaces compris, soit entre 4-6 pages en police Times New Roman 12, et interligne simple. Le texte doit comporter un titre, être accompagné par des détails du spectacle (mise en scène, comédiens principaux, lieu de la représentation, lieu et date de la première) et par des photos (3 maximum, bien agendées et libres de droit) ainsi que par une notice bio de l’auteur (1-2 lignes).
  • Entretien avec un metteur en scène, des comédiens, des ingénieurs du son et de la vidéo, p. exemple. La longueur peut se situer entre 10.000 et 25.000 signes espaces compris, soit entre 6 – 8 pages en police Times New Roman 12, et interligne simple. Le texte doit porter un titre, et des précisions suivantes : nom et prénom de la personne qui a réalisé l’entretien, nom et prénom de la personne qui l’a transcrit, date et lieu de l’entretien, s’il a été relu et autorisé par l’artiste. Deux courtes notices bio (l’artiste et l’auteur de l’entretien) sont également souhaitées. L’entretien peut être accompagné par des photos (3 maximum, bien agendées et libres de droit).
  • Descriptif d’un projet lié au théâtre et technologie (projet de recherche-création, projet scientifique, projet artistique), la longueur proposée est entre 8.000 et 12.000 signes espaces compris, soit entre 4-6 pages en police Times New Roman 12, et interligne simple. Le texte doit comporter un titre, être accompagné par des détails comme le nom et prénom de l’auteur de l’article, l’institution qui porte le projet, l’adresse de son site Web. Le descriptif peut être accompagné par des photos (3 maximum, bien agendées et libres de droit) ainsi que par une notice bio de l’auteur (1-2 lignes).
  • Recension d’un ouvrage sur la technologie au théâtre. La longueur du texte peut se situer entre 8.000 et 12.000 signes espaces compris, soit entre 4-6 pages en police Times New Roman 12 et interligne simple. Le texte doit porter un titre et être accompagné par une notice bio de l’auteur de la recension.

L’article aura une référence bibliographique électronique, il peut être tiré d’un travail de recherche (maîtrise, thèse) et peut être republié ensuite dans une revue imprimée. En raison des principes associatifs de Theatre in Progress, les articles ne sont pas rémunérés.

Cet appel à contributions s’adresse surtout aux étudiants en Master et Doctorat en Lettres et Etudes théâtrales et aux jeunes critiques de théâtre souhaitant exercer leur métier et bénéficier de l’expertise du comité de lecture.

Vos propositions sont attendues jusqu’au 31 août 2018 à deux adresses suivantes :

Simon.Hagemann@univ-lorraine.fr (Dr Simon Hagemann, Université de Lorraine)

Izabella.Pluta@unil.ch (Dr Izabella Pluta, Université de Lausanne)

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Résidences arts plastiques Usine Utopik 2019

Publié le 24 Juillet 2018 par Anaïs BERNARD dans appel à résidence

Résidences arts plastiques Usine Utopik 2019

Résidence de 54 jours - mars / octobre 2019. L’association ADN - Usine Utopik est un Centre de Création Contemporaine implanté en milieu rural, dans les anciennes serres horticoles de Tessy Bocage (en région Normandie).

L’appel à résidence s’adresse à tous les artistes diplômés, ayant une pratique professionnelle dans la création contemporaine (peinture, sculpture, installation, photo, dessin, céramique, performance, etc…)
sans limite d’âge et de nationalité. A raison de six résidences par an, du printemps à l’automne, l’Usine Utopik accueille simultanément deux artistes. Cette organisation nécessite une collaboration pour
l’exposition pouvant donner lieu à un projet artistique commun.

Périodes de résidences 2018 à titre indicatif :
1ère résidence : du 27 mars au 18 mai 2018
2ème résidence : du 22 mai au 13 juillet 2018
3ème résidence : du 4 septembre au 26 octobre 2018

Modalités financières
Une aide financière d’un montant global de 3 750 euros est allouée pour la résidence (si les cotisations sont réglées par l’artiste) comprenant une bourse de création (versement d’une somme forfaitaire) et une aide financière pour les frais de production associés à la résidence, à hauteur maximum de 1 500€ sur présentation de justificatifs.

Modalités pratiques d'accueil
Le logement est pris en charge par l’Usine Utopik.
L’appartement est occupé par les artistes invités simultanément en résidence. L’artiste dispose d’une chambre, les pièces de vie dont la salle à manger, cuisine, salle de bain et toilettes sont des espaces communs.
Un atelier de 60m2 est mis à disposition dans le centre.
Une aide technique peut être envisagée dans la limite des moyens de la structure.
L’Usine Utopik met à disposition un outillage électro-portatif (pour plus de précision sur le matériel, consulter l'association)
Les charges d’eau et d’électricité sont assumées par l’Usine Utopik.
L’accès à la wifi est fourni dans chaque atelier.
L’Usine Utopik prend en charge tous les frais liés à l’inauguration de l’exposition (communication, vernissage...).
Les communications téléphoniques, les déplacements A/R et les frais alimentaires sont des frais restant à la charge de l’artiste.
Pour la résidence, il est fortement conseillé d’être véhiculé car la commune de Tessy ne bénéficie pas de transports en commun (bus et train). La ville la plus proche, Saint-Lô, se situe à 18 kms.

Dossier de candidature à envoyer avant le 15 octobre 2018.

Télécharger l'appel à candidatures complet au lien ci-dessous.

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Les nouveaux territoires de la création documentaire

Publié le 23 Juillet 2018 par Anaïs BERNARD dans ouvrage, Ouvrage

Les nouveaux territoires de la création documentaire

Introductions
Après le webdoc…
Webcréations, la typologie impossible
Retour sur les narrations interactives

1. Introspections : Webdocumentaristes de notre temps
– Gwenola Wagon et Stéphane Degoutin exporent le « Cerveau mondial » d’une humanité connectée
– Antoine Viviani, « Dans les limbes » d’internet
– Margaux Missika et Alexandre Brachet détricotent « Do Not Track »

 2. Le webdoc en balade
– « Le Cancer du Temps », une fable interactive sur notre incapacité à ne rien faire
– « Affaires sensibles », le fait divers revu, corrigé et… épuré
– Joffrey Lavigne invite les spectateurs dans les pas de « Jaurès »
– « L’Infiltré » : Coulisses de la première politique-fiction en temps réel
–  Alexandre Hallier : Eloge du livre numérique interactif
– Ulrich Fischer et la promesse de « marcher son film »

On fait le point avec…
Pierre Cattan (Small Bang)

3. Le documentaire fait du bruit
– Le documentaire sonore : Un jardin d’herbes folles à explorer *
– Thomas Baumgartner : « Le son binaural est une révolution de l’écriture radiophonique »
– Le nouveau podcast : états des lieux, enjeux et perspectives *
– « De guerre en fils » : quand le documentaire radio joue avec la fiction *
– ARTE Radio : le documentaire sonore selon Silvain Gire
– Sara Monimart et Chloé Assous-Plunian racontent « Les Braqueurs »
– Genèse et développement du podcast « Transfert »
– « T’es où Youssef ? » : Le podcast en forme de making of d’un film
– « Audiostories » : Un geste documentaire en partage qui consacre les univers sonores *
– « Underground democracy » : Une nouvelle génération de documentaire radio en live et sur scène *

On fait le point avec…
Joël Ronez (Binge Audio)

4. Le documentaire en série
– Les webséries dans tous leurs états
– Marion Gervais : Pourquoi et comment « La Bande du skatepark » a été une websérie
– La Parade : un conte documentaire post-industriel *
– Simon Bouisson détaille « Product »
– Julien Goetz et Sylvain Lapoix : Construire la communauté de DataGueule
– Le documentaire en réseau : du « Madeleine Project » à « Eté », de Twitter à Instagram

On fait le point avec…
Gwenaëlle Signaté (« IRL » – France Télévisions)

5. Ensemble, le documentaire
– Irvin Anneix : le créateur numérique qui murmure à l’oreille des ados *
– Comment « Soundhunters » a mis en musique le collaboratif ?
– « Génération what ? » : de l’expérience interactive française au projet mondial
– Andres Jarach raconte « Générations 14 »
– « Anarchy » : C’est le chaos, entrez dans la fiction

On fait le point avec…
Hugues Sweeney (ONF/studio interactif)

6. Le documentaire s’amuse 
– Le jeu vidéo et le réel : l’heure du « coming out » pour une forme d’écriture du monde
– De « Jeux d’influences » à « Assassin’s Creed » : Le traitement du réel dans les jeux vidéo *
– Quels jeux vidéos pour quels effets narratifs ? (par Pierre Corbinais)
– David Dufresne : « Le jeu est une grammaire documentaire, une syntaxe interactive »
– « Californium » : un jeu vidéo documentaire sur l’univers de Philip K. Dick
– Les montagnes russes émotionnelles de l’artisan producteur de jeux vidéo (par Florent Maurin)

On fait le point avec…
Gilles Freissinier (ARTE Pôle web)

7. Et la réalité devint virtuelle…
– Félix et Paul :Visite guidée dans le studio le plus réputé du monde
– Oscar Raby : L’interactivité granulaire ou l’homme pensant au centre de l’univers
– Arnaud Dressen : « Pour la première fois, un média dédié au cinéma immersif »
– Arnaud Colinart : Comment nous avons produit « Notes on Blindness »
– Key Meseberg : « La réalité virtuelle est une vieille idée »
– « Le photographe inconnu » : Histoire d’un projet documentaire à deux têtes
– Vincent Morisset : A propos de « Jusqu’ici » *
– Okio, tête de pont de la réalité virtuelle française derrière « I, Philip » et « Altération » *
– « The Enemy », l’expérience de réalité virtuelle de Karim Ben Khelifa
– Michel Reilhac : « La VR est un terrain d’expérimentation extraordinaire »
– Adelin Schweitzer : un artiste numérique depuis longtemps en réalité virtuelle

Ouverture en forme de « Temple de la Renommée »

 

Cédric Mal, 2018, Les nouveaux territoires de la création documentaire, Le Blog Documentaire Editions, 680 pages, 29.20 euros.

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POÉSIE MÉCANOPHONIQUE

Publié le 22 Juillet 2018 par Anaïs BERNARD dans evenement, exposit

POÉSIE MÉCANOPHONIQUE

POÉSIE MÉCANOPHONIQUE
Musée Industriel de la Corderie Vallois
du 03 juillet 2018 au 16 septembre 2018


En résidence artistique au Musée Industriel de la Corderie Vallois, Benoît Poulain y a installé une fabrique sonore collaborative, invitant le public à explorer, capter le son, et créer des instruments de musique à partir d’objets détournés, revisitant les mécaniques du Musée. Scolaires, collégiens, jeunes publics, adultes, enfants des centres de loisirs, associations, personnes en situation de handicap : près de 600 personnes ont participé à l’un des 45 ateliers ouverts à tous pour contribuer à la création d’une œuvre collective.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
À l’issue de cette expérience, Benoît Poulain a créé POÉSIE MÉCANOPHONIQUE, une œuvre née de l’assemblage des réalisations de chacun et de l’imaginaire de l’artiste : une Machine Sonore Monumentale autonome, qui interagit avec le visiteur. Une création collective poétique en hommage au détournement d’objets cher à Marcel Duchamp, à l’occasion des célébrations Duchamp dans sa Ville

Sculpteur et designer, Benoît Poulain explore la sculpture sonore et la lutherie sauvage depuis près de 20 ans. Il rejoint en 2000 l’association Lutherie Urbaine pour laquelle il a construit un important instrumentarium insolite au fil de quinze années de collaborations, notamment auprès de Jean-Louis Mechali. En parallèle, il développe un goût prononcé pour la transmission et le partage de son savoir-faire auprès d’un large public, amateurs comme professionnels (musiciens, éducateurs…), en France comme à l’international. Depuis quelques années, il est également musicien notamment dans des formations électro (trio Toystroy) et électroacoustiques (collectif « L’Emoi-Sonneur »). Il a récemment exporté son laboratoire sonore en Normandie et fondé l’association Du Grain à Moudre, dédiée à la création instrumentale et musicale.

Exposition en entrée libre
Performance de clôture le 16 septembre dans le cadre des Journées du patrimoine

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