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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

Bonne année 2021

Publié le 1 Janvier 2021 par Anaïs BERNARD dans actualite, actualité

Bonne année 2021

En cette aube de nouvelle année, Corps en Immersion vous adresse quelques notes de curiosité et d'inventivité, une pincée de folie, un brin de saut temporaire, quelques gouttes de créativité et d'espoir.

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JoYeUx NoËl 2020

Publié le 25 Décembre 2020 par Anaïs BERNARD dans actualite, actualité

JoYeUx NoËl 2020

Corps en Immersion vous souhaite de très belles fêtes de fin d'année!

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ÆON, LA NUIT DES TEMPS / CIE 14:20

Publié le 17 Novembre 2020 par Anaïs BERNARD dans Arts vivants

ÆON, LA NUIT DES TEMPS / CIE 14:20

Le 1er décembre 2020, à 20h30.

Un spectacle sur le temps où jeux de lumières et d’ombres, effets de miroirs magiques font vivre aux spectateurs une expérience magique.

Comment parler du temps, sujet éminemment complexe, objet d'étude des scientifiques qui cherchent à le comprendre, des confins de l'univers à ceux de notre cerveau ? Le temps n’est pas un mais multiple ; notre perception et notre psychologie nous le font ressentir, la science nous le confirme. Pourrions-nous, un instant, l’appréhender, le rencontrer et échapper à son écoulement inéluctable ? Et s'il était possible de le ralentir, de figer son déroulement...

Dans cette nouvelle création art/science, la compagnie 14:20 fait le pari de la magie pour poursuivre son exploration de la flèche du temps ré-enchantée. S'appuyant sur les expériences du scientifique et spéléologue Michel Siffre dans des grottes souterraines, Æon questionne le temps intime et circadien, le temps bouleversé lorsque nos repères nous échappent et que seul le rêve et la mémoire offrent refuge. 

Après une résidence de travail au Centre des arts, la Cie présente une étape de création du projet (qui verra le jour au printemps 2021 dans le cadre du festival SPRING en Normandie) et propose également en complément, un temps de conférence et d'échange avec un scientifique de renom spécialiste du temps. Neuroscience et physique dialoguent dans une approche transdisciplinaire et accessible à tous.  

Production Compagnie 14:20

Coproduction : le théâtre de Caen et Le Rive  Gauche dans  le  cadre  de  SPRING,  festival  des nouvelles  formes de cirque en Normandie, proposé par la Plateforme 2 Pôles Cirque en Normandie / La Brèche à Cherbourg – Cirque- Théâtre d’Elbeuf ; L’Estran Guidel 

Accueil en résidence : Abbaye de Noirlac – Centre culturel de rencontre / CENTQUATRE-PARIS / Centre des arts d’Enghien-les-Bains, scène conventionnée d’intérêt national – Art et création.

Avec le soutien du ministère de la Culture- DGCA.

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F(H)OMMES

Publié le 5 Novembre 2020 par Anaïs BERNARD dans Arts vivants

F(H)OMMES
jeudi 19 mars 20h30 / Reporté : jeudi 19 novembre 20h30
 
Dans le cadre des mesures de lutte contre la pandémie du Coronavirus-COVID-19, Le Cube se voit contraint de reporter la performance F(h)omme au jeudi 19 novembre 20h30.
 
 
Quelle place les machines laisseront au corps biologique, aux émotions, à l’intelligence ? Dans le futur, les humains devront-ils se réinventer ?
F(h)ommes est une chorégraphie pour deux danseurs, deux musiciens et un objet-machine, qui interroge le devenir de la condition humaine face au progrès des technologies numériques et la place qu’elles occupent dans notre quotidien.
Les machines sont omniprésentes dans nos vies et influencent irrémédiablement nos façons de communiquer, de penser et d’agir. Programmé, piloté ou en totale autonomie, jusqu'où l'objet-machine présent sur scène exercera-t-il son emprise sur les êtres humains ?

La chorégraphie d'Herwann Asseh se révèle ici tour à tour instinctive, animale, mécanique ou à l'état de transe. Sur scène, les deux danseuses-interprètes Suzie Babin et Nina Chati sont accompagnées par la musique électronique jouée en live par Romain Dubois et Xavier Guillaumin. A leurs côtés, posée discrètement sur une table, la lampe robotisée baptisée ADEL (Autonomous Dancing Expressive Lamp) symbolise les machines et l'intelligence artificielle qui envahissent nos vies. Programmé, piloté ou en totale autonomie, jusqu'où cet objet du quotidien exercera-t-il son emprise sur les êtres humains ?

Le Cube
20, cours Saint Vincent
92130 Issy-les-Moulineaux
FRANCE

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Mythes & Légendes du Cyberespace - Dédicaces des auteurs Christine Barsi et Yann Minh

Publié le 29 Octobre 2020 par Anaïs BERNARD dans Evenement, evenement

Mythes & Légendes du Cyberespace - Dédicaces des auteurs Christine Barsi et Yann Minh

Spectacle sur les Mythes & Légendes du Cyberespace, le jeudi 5 novembre, de 19h00 à 21h30, lors duquel les auteurs Christine Barsi et Yann Minh vous dédicaceront leurs livres et productions artistiques. Lors de ce temps, au Théâtre de la Scène Watteau sur Nogent, Yann Minh nous fera une conférence gesticulée immersive dans les mystères passés et futurs des arts et des sciences.

La Scène Watteau est une scène conventionnée subventionnée par la Ville de Nogent-sur-Marne, le Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Ile-de-France, le Conseil départemental du Val-de-Marne, la Région Ile-de-France.

 

LA SCÈNE WATTEAU
adresse
Place du Théâtre 94130 Nogent-sur-Marne

accueil, billetterie
tél : 01 48 72 94 94
mail : accueil@scenewatteau.fr

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FÉMININE BUT ELASTIC

Publié le 22 Octobre 2020 par Anaïs BERNARD dans Arts vivants

FÉMININE BUT ELASTIC

Féminine but Elastic
Jeudi 5 novembre 20h30 / Reporté : jeudi 5 novembre 20h30
 
Dans le cadre des mesures de lutte contre la pandémie du Coronavirus-COVID-19, Le Cube se voit contraint de reporter la performance "Féminine but Elastic" au jeudi 5 novembre 20h30.
 
 

Un corps et ses multiples possibilités de s'étirer ou se contracter pour s'adapter aux demandes des médias. Une femme, un vidéoprojecteur, et quelques objets. C'est tout. Et ce n'est pas aussi simple.

Feminine, but Elastic (Féminin, mais élastique) est une pièce de théâtre physique qui a pour thème central l'influence des médias sur le comportement des femmes dans le monde occidental. Le spectacle est un dialogue entre un travail corporel solo et un dispositif multimédia manipulé en temps réel pour faciliter le voyage de la comédienne dans un univers féminin, mais élastique. Le résultat est un collage de modèles féminins qui peut constituer une femme peut-être parfaite, mais surtout irréelle.

La compagnie Poulpe Électrique a été créée en 2015 avec l'objectif de travailler des sujets contemporains à travers un dialogue critique et poétique entre le corps en mouvement et les arts numériques. Les artistes qui la constituent ont déjà un parcours de travail avec des compagnies en France (Omproduck, Nyktalop Mélodie) et à l'étranger (Energinmotion Physical Theatre, Théâtre de L'Ange Fou).

 

Le Cube
20, cours Saint Vincent
92130 Issy-les-Moulineaux
FRANCE

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PEACH GARDEN

Publié le 20 Octobre 2020 par Anaïs BERNARD dans Exposition, VR

PEACH GARDEN

PEACH GARDEN
27 > 29.10.2020

Inspiré du célèbre «Rêve de voyage au pays des pêchers en fleurs» du peintre coréen An Gyeon, Peach Garden propose une déambulation libre dans un jardin surréaliste où les lois de la nature sont complètement bouleversées. Peach Garden est un voyage sensoriel, sans véritable début, milieu ou fin, où le spectateur est émerveillé à chaque tournant et peut créer son propre dialogue avec cet environnement étonnant. Dans un monde où nous courons constamment après le temps, après un but, c’est une invitation à errer, et à prendre plaisir à être «simplement présent».

 

DISTRIBUTION
créé par : Hayoun Kwon
développeur principal : Julien Le Corre
développeur : Justine Delomenie
concepteur niveaux : Fabrice Gaston
artiste : Guillaume Bertinet

concepteur technique : Maxime Grange
animateur : Samuel Arbouille
modeleur / textureur : Axel Mounier
compositeur & concepteur sonore : Norman Bambi

 

Hayoun Kwon est une artiste multimédia coréenne, co-fondatrice du studio Innerspace VR. Elle développe un travail autour de la narration comme construction de la mémoire individuelle et collective. Explorant les possibilités offertes par les nouvelles technologies pour jouer de la confusion entre souvenirs réels et actions rêvées, entre témoignage fidèle et interprétation fantasmée, elle interroge ce qui est transmis, ce qui fait trace ou sombre dans l’oubli. Son travail a notamment été montré dans le cadre des festivals « Cinéma du Réel » au Centre Pompidou et « Doc Fortnight» au MoMA. Ses deux dernières installations L’Oiseleuse et Le voyage intérieur de Gauguin ont été présentées respectivement au Palais de Tokyo et au Grand Palais en 2017.

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Colloque "Immersivité et innovations technologiques"

Publié le 19 Octobre 2020 par Anaïs BERNARD dans conférence

Colloque "Immersivité et innovations technologiques"

Originellement, le colloque devait se tenir à Montréal du 10 au 13 juin 2020. Le contexte écologique et épidémiologique actuel nous a poussé à transformer l’événement.

Dorénavant, le colloque se déroulera de façon virtuelle, du 26 au 30 octobre 2020.

Cet événement est le fruit d’une collaboration entre le partenariat international de recherche sur les techniques et technologies du cinéma (TECHNÈS), le Groupe de recherche sur l’avènement et la formation des identités médiatiques (GRAFIM), le programme de recherche sur l’expérience cinématographique (CINEX), ainsi que le Moving Image Research Laboratory (Université McGill). 

Le colloque aura pour invité d’honneur Douglas Trumbull, spécialiste en effets visuels (2001: A Space Odyssey;Blade Runner) et réalisateur (Silent Running; Brainstorm).

 

À en croire les manchettes et les communiqués de presse qui accompagnent le lancement de chaque nouvel appareil de réalité virtuelle, nous approchons le jour où il sera possible de vivre des expériences si immersives que l’on ne saurait les distinguer de la réalité. Déjà en 2004, Katie Salen et Eric Zimmerman critiquaient cette « immersive fallacy », tendance qui consiste à accorder trop d’importance aux technologies audiovisuelles et à l’idée d’une illusion si totale qu’elle serait indissociable du monde réel (Salen et Zimmerman 2004, p. 451). En effet, plusieurs ont déjà démontré le riche héritage de la notion d’immersion, contribuant ainsi à remettre en question la nouveauté du concept et son rapport aux « nouvelles technologies ». Par exemple, Oliver Grau (2003), Alison Griffiths (2013) et Erkki Huhtamo (2013) proposent une archéologie des formes médiatiques immersives depuis l’Antiquité en passant par les panoramas du 19esiècle. D’autres, comme Victor Neil (1988), Jean-Marie Schaeffer (1999), Janet Murray (1997) et Marie-Laure Ryan (2001, 2015) ont abordé l’immersion dans un contexte littéraire en traitant des technologies propres au récit scriptural et de l’apport psychologique du lecteur dans l’immersivité narrative. Du côté vidéoludique, Gordon Calleja a critiqué les malentendus — autant dans l’industrie que dans le monde académique — qui émanent de la confusion sémantique du terme immersion : « It is used to refer to experiential states as diverse as general engagement, perception of realism, addiction, suspension of disbelief, identification with game characters and more » (2011,p. 25).

Comprendre les formes immersives contemporaines implique à cet effet un éventail d’approches visant à déchiffrer la notion d’immersivité à travers différents contextes sociohistoriques et disciplinaires, ainsi qu’à mettre en lumière les formations d’expériences immersives au-delà des limites des technologies actuelles. Comment l’histoire de l’art, la littérature, les médias visuels et même la science peuvent-ils influencer la notion d’immersivité? Qu’est-ce que les pratiques immersives antérieures nous apprennent de l’idéal (encore irréalisé) d’une expérience virtuelle totalement englobante? Quels rôles le corps, l’espace et le récit jouent-ils dans la production et le maintien d’une expérience immersive? À quelles fins les fonctions immersives des technologies sont-elles utilisées? Les questions qui alimentent depuis longtemps la réflexion sur la notion d’immersivité reviennent ainsi dans les plus récentes recherches, que ce soit dans le domaine des théories des médias (Lisa Nakamura, Wendy H.K. Chun, Deborah Levitt) ou dans le champ des sciences cognitives et de la psychologie (Jeremy Bailenson, Mel Slater, Philippe Bertrand). D’autres encore ont cherché à unir les deux champs d’études en s’inspirant d’approches psychologiques et cognitives afin d’aborder l’immersivité en jeu dans différentes technologies médiatiques (Torben Grodal, Mireille Berton, Douglas Trumbull).

 

Pour assister à l’événement qui aura lieu du 26 au 30 octobre 2020, veuillez vous inscrire grâce au lien suivant: http://bit.ly/Inscription_Immersivité

Programmation

Programmation

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L Louise

Publié le 17 Octobre 2020 par Anaïs BERNARD dans Arts vivants

L Louise

L Louise
Spectacle du Créa-Théâtre
Du 23 au 25 octobre 2020
Le 23 octobre à 13h30 et 19h00, le 24 octobre et le 25 octobre à 16h00
Gratuit, sur réservation au +32(0)69 88 91 40 ou maisondelamarionnette@skynet.be

 

Création / performance réunissant marionnette géante, corps en mouvements, musique et projection.
L Louise est inspirée de la vie et l’oeuvre de Louise Bourgeois.
À partir de la sculpture emblématique Spider, il s’agira de questionner l’impact de l’enfance, la filiation, le rôle de la mère, de la femme, de l’artiste.
Une performance qui fait se frôler marionnettes, manipulation danse / mouvements et arts numériques.


Conception : Françoise Flabat
Danse : Camille Mariage
Images, et vidéos, motorisation : Nicolas-Adrien Houtteman
Marionnettes : Christine Corman et Françoise Flabat
Régie technique : Fred Berthe
Photos et teaser : Alex Quintin


Une production du Créa-Théâtre, avec le soutien du Centre de la Marionnette de la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Fabrique de Théâtre Service Provincial des Arts de la Scène.
Diffusée dans le cadre de l'événement LUMEN#5, du projet N.A.P.P. et de L'Art dans la Ville.

 

Centre de la marionnette
Rue Saint-Martin 47
7500 Tournai - Belgique

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Les Utopiales, Festival international de Science-Fiction 2020

Publié le 15 Octobre 2020 par Anaïs BERNARD dans Festival

Les Utopiales, Festival international de Science-Fiction 2020

Plus que jamais, la science-fiction décode notre réalité...

Les Utopiales,
Festival international de Science-Fiction
Du jeudi 29 octobre au dimanche 1er novembre 2020

 

Vocation
Une vocation ambitieuse
Fortes du patrimoine laissé par Jules Verne et du passé surréaliste de Nantes, les Utopiales se sont installées dans le paysage culturel nantais au tout début du nouveau siècle, en l’an 2000. Dès sa création, le festival s’est donné pour objectif de faire découvrir au plus grand nombre le monde de la prospective, des technologies nouvelles et de l’imaginaire. Nous sommes convaincus que sous couvert de rêve et d’évasion, la science-fiction est un puissant outil de pédagogie d’exploration du réel.

Un concept original
Littérature, sciences, cinéma, bande dessinée, expositions, jeux de rôles, jeux vidéo et pôle asiatique : depuis 19 ans, la programmation pluridisciplinaire des Utopiales fait cohabiter les univers de la science et de la science-fiction. Après plus de 600 films projetés, 2000 auteurs, dessinateurs et chercheurs invités et près de 170 expositions et installations artistiques programmées, cette singularité fait du festival nantais un événement incontournable du genre en Europe et outre-Atlantique.

Explorer, débattre, rêver
Les Utopiales réunissent des scientifiques, chercheurs, écrivains, scénaristes, dessinateurs, réalisateurs et tous ceux qui, jour après jour, façonnent des mondes fabuleux à partir de fragments de réel, pour en faire de véritables  expériences de pensée, invitations à cultiver notre curiosité et notre imaginaire pour renforcer notre ouverture au monde et nous permettre de devenir pleinement acteur de son évolution future.

 

Alex alice signe l’affiche de la 21e édition des utopiales !
Né en 1974, Alex Alice est l’un des auteurs de bande dessinée les plus doués de sa génération. Il connaît un succès immédiat au tournant des années 2000 avec une série devenue mythique, Le Troisième Testament. Son ambitieux projet Siegfried, inspiré de l’opéra de Wagner, lui vaut le Spectrum Gold Award, référence mondiale de l’illustration fantastique. Après plus d’un million d’albums vendus, traduits dans une vingtaine de langues, Alex Alice n’hésite pas renouveler son style avec sa nouvelle série tout-public, Le Château des étoiles, au succès immédiat. Entièrement réalisées à l’aquarelle, ses pages évoquent à la fois les illustrations de Jules Verne et le souvenir enchanté de voyages de jeunesse dans les châteaux de Bavière…

Pour la création de l’affiche du festival, nous demandons à chaque illustrateur de s’inspirer de la Ville de Nantes et du thème retenu de l’édition. Pour 2020, « Traces »…

la vision de l’illustrateur sur le thème des utopiales 2020
« Quand je retrace mon parcours, il me semble que pour partie il remonte jusqu’à Nantes. Jusqu’aux bords de la Loire, dans les pas de Jules Verne. Là où les bateaux en partance pour des mers lointaines ont créé sa vocation, qui devait en susciter bien d’autres. Ce sont ces traces que j’évoque ici, et celles du pont transbordeur dont il ne reste aujourd’hui que le souvenir. La Lune, elle, est toujours là qui porte peut-être les traces les plus célèbres de l’histoire de l’humanité. Traces lunaires qui elles aussi doivent sans doute beaucoup à l’inspiration du vénérable Jules, dont les Utopiales célèbrent toujours forcément un peu l’héritage… »

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