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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

Séminaire doctoral en ethnoscénologie (EDESTA, EA1573)

Publié le 12 Avril 2018 par Anaïs BERNARD dans conférence

Séminaire doctoral en ethnoscénologie (EDESTA, EA1573)

Le Séminaire méthodologique transversal de Recherche-création, de l’école doctorale EDESTA et le Séminaire transversal interaxes de l’EA 1573 « Scènes du monde, création, savoirs critiques », qui se tiendront successivement le lundi 16 avril prochain à la MSH Paris Nord (14h-17h), puis à  l’INHA (18h-20h). 

 

 LUNDI 16 AVRIL,  14H00 – 17H : 

SÉMINAIRE MÉTHODOLOGIQUE TRANSVERSAL EDESTA DE RECHERCHE-CRÉATION

Amphi, Maison des Sciences de l’Homme de Paris Nord
20, Avenue George Sand 93210 La Plaine Saint-Denis 
Métro Front populaire
[ORGANISATION : Jean-François Dusigne, Patrick Nardin, Soko Phay­]

 

- Marcus Vinicius Borja | Docteur (SACRe): « Poétiques de la voix et espaces sonores : la musicalité et la choralité comme bases de la pratique théâtrale »

Dir. Jean-François Dusigne (Scènes du monde, création, savoirs critiques). Cette recherche doctorale d’art et de création a pour but de démontrer et faire agir, de manière consciente et organique dans le travail du plateau, la similarité des modes de perception du temps dans la musique et dans le théâtre et proposer, à partir de la vocalité, une base solide et un langage commun au travail de l’acteur, du musicien et du metteur en scène.

- Carole Fékété et Ariane Tillenon | Doctorantes (EPHA): « Une recherche entre savoirs et savoir-faire : penser avec l’art »

Le séminaire propose de réfléchir sur les possibilités d’une recherche-création fondée sur une expérience de l’art. La théorie ne peut être ici l’explication de la pratique ; quelle est alors sa place là où l’essentiel semble avant tout de produire des œuvres et non le discours qui les accompagne ?

Ce séminaire prendra comme point d’appui les ateliers de recherche-création organisés au Cambodge et au Rwanda. Il posera ainsi la question d’une recherche-création dans un contexte précis lié à la violence extrême et l’absence de traces. Face à ce manque comment créer et penser la recherche ? Quelles méthodes de travail seraient à inventer ?

 

LUNDI 16 AVRIL,  18H00 – 20H00 : 

SÉMINAIRE DOCTORAL TRANSVERSAL DE L’EA 1573
Salle Benjamin INHA
2 rue Vivienne, 75002 Paris
[ORGANISATION : AXE ETHNOSCÉNOLOGIE]

 

- 18h-18h20 : 

De l’apprentissage et la sensorialité aux paradigmes des corps en mouvement (2009-2019), Pierre Philippe-Meden, docteur.

Les travaux de la Société française d’ethnoscénologie (SOFETH) et le renouveau de la revue L’Ethnographie. 

- 18h20-18h40 :

 Analyse, typologie et cartographie des arts du spectacle en milieu hospitalier et milieu carcéral, Jérôme Dubois, MCF ; Vincent Clavel, Sophiapol (Nanterre, EA3932).  

Présentation d’étape du projet UPL (trois ans), lequel porte sur les arts du spectacle dans les hôpitaux et les prisons. Evocation d’un atelier théâtre en milieu psychiatrique.

- 18h40-19h : 

Expérimentations de dispositifs pédagogiques innovants sur l’entretien clinique médical, associant recherches théâtrales, anthropologiques et médicales. Jean-François Dusigne, professeur ; Gilles Remillet, MCF cinéma anthropologique et documentaire EA 4414 Histoire des arts et des représentations (Paris Ouest) ; Wilfried Bosch, docteur (axe esthétique, EA 1573) ; Georges Gagneré, Mast (axe esthétique).

Poursuite collaborative du projet sur les « processus de direction d’acteur, de transmission et d’ échanges » dans le cadre de l’actuel projet  labex ARTS H2H « Consultation médicale virtuelle : un jeu de rôle sérieux. Expérimentations numériques et enjeux sociaux à propos d’un serious game pour une simulation pédagogique de l’entretien clinique médical ». Présence sensible des acteurs dans un dispositif technologique. 

- Pause (15 minutes)

- 19h15-19h40 : 

Théâtre in situ et patrimoine : la dramaturgie urbaine à l’épreuve. Représentations théâtrales et recherche in situ, Louise Roux, docteure ; Frederico Nepomuceno, doctorant.

Ouverture de l’action théâtrale en milieu urbain à partir de l’expérience vécue de l’appropriation de la gare de Barra do Pirai (ville moyenne de Rio de Janeiro), abandonnée depuis vingt ans. Notre travail collectif de construction scénique avec la population locale repose sur une expérience immersive dans la durée - résidences de trois mois au sein même de cette gare - appliquée à chaque processus de création théâtrale (2014,  2015 et 2016).

Les possibles et limites de soutenabilité d’une telle action dans une ville marquée par le manque de structure institutionnelle et de dynamisme culturel. Les enjeux d’une pratique in situ. 

- 19h40-20h : 

sken@s — Fonds documentaire en Ethnoscénologie, Jean-Marie Pradier, professeur émérite ; Lee Hyun Joo, docteure

Soutenu par le Labex Arts H2H, hébergé par la MSH Paris Nord, le projet “Fonds ethnoscénologie : archivage et numérisation” a eu pour objectif de recenser, conserver et partager les archives de l’ethnoscénologie afin de mettre cette documentation au service des chercheurs. Un modèle de plate-forme innovante, mondiale, multilingue et interactive a été élaboré. Sken@s 

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Simulacre numérique. Mort ou vivant ?

Publié le 11 Avril 2018 par Anaïs BERNARD dans conférence

Simulacre numérique. Mort ou vivant ?

Simulacre numérique. Mort ou vivant ? - Conférence de Régis Cotent
mercredi 25 avril à 19:00 - 21:30
PointCulture Louvain la Neuve
Place Galilée, 9a, 1348 Ottignies-Louvain-la-Neuve

À la demande de Transcultures, Régis Cotentin propose une conférence (Le simulacre numérique. Mort ou vif ?) qui fait écho aux thématiques explorées dans les deux volets de l’exposition Écritures Numériques proposée au Musée L ainsi qu’ à ses propres films et installations qui confient son vécu à l’évanescence des images vidéographiques et digitales. Pour l’artiste visuel/commissaire d’exposition, se consacrer pendant plusieurs années, comme il l’a fait récemment pour son doctorat, à l’étude du Simulacre numérique, les images digitales au défi du vivant fut, fut une autre manière de faire œuvre.

Son intervention illustrée par plusieurs exemples extraits d’œuvres phare d’artistes contemporains et personnelles, croise ses différentes résonances critiques pour mieux interroger les enjeux des images/simulacres numériques.

Vous pouvez aussi retrouver ici son introduction aux concepts de disnovation et de Cabinet de curiosités numériques sur le blog.

En partenariat avec l’UCL Culture et Point Culture, Transcultures inaugure à l’occasion des Transnumériques#6, le cycle Penser les cultures numériques invitant des créateurs, curateurs, organisateurs, philosophes, sociologues, penseurs… à partager, le temps d’une soirée conviviale, leur point de vue critique et leur démarche et à débattre avec le public de différents enjeux aux confluents des mutations arts/ technologies/médias/société.

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Quand la réalité virtuelle nous permet de nager avec les dauphins

Publié le 10 Avril 2018 par Anaïs BERNARD dans actualité

Quand la réalité virtuelle nous permet de nager avec les dauphins

Si seulement nous pouvions nous voir à travers les yeux d'un dauphin,
nous pourrions atteindre la paix mondiale en une génération.

https://thedolphinswimclub.com/

Sjollema est une artiste qui partage son temps entre ses studios aux Pays-Bas, au-dessous du niveau de la mer, et la Suède, au bord de la mer. Depuis qu'elle a découvert, par hasard, un grand dauphin à gros nez en 1993, elle a été enchantée. Il en résulte un voyage pour rencontrer et parfois nager avec les dauphins et les baleines libres partout dans le monde.

"Rien n'a plus parlé à mon imagination que de regarder dans les yeux d'un cétacé, il y a le sentiment d'un être très ému qui vous regarde volontiers. Il semble toujours y avoir cet élément de magie autour des baleines et des dauphins. Au cours de toutes ces années, j'ai vu beaucoup de gens profondément émus. C'est l'expérience que nous aimerions partager avec vous. Pour tous ceux qui ne peuvent pas être là-bas dans les océans (tout le temps), la technologie étonnante de VR les ramènera à la maison! Et mieux encore, les dauphins restent dans leur propre maison, les océans libres du monde!"

Benno Brada a une longue expérience dans le conseil en affaires (Université de Nijenrode, Harvard). Il apporte toute son expertise et son énergie pour gérer le Dolphin Swim Club. Avec sa femme Marijke Sjollema, il partage un amour profond pour les cétacés et il l'a accompagnée dans de nombreuses aventures océaniques.

Nous poussons la qualité, la créativité et le facteur WOW au niveau supérieur dans toutes les formes de solutions vidéo 360° et de réalité virtuelle. Depuis 2009, notre équipe de production et nos développeurs expérimentés à 360° recherchent des collaborations fructueuses et une passion insensée pour des expériences immersives inspirantes.

"Ce projet est très spécial pour nous. Au lieu de travailler principalement sur des campagnes commerciales avec des durées d'attention élevées (mais courtes), notre technique peut vraiment créer une valeur ajoutée à ce projet. Nous pouvons vraiment enrichir la vie des gens, les faire sourire et contribuer à la recherche de la technologie de réalité virtuelle dans les soins de santé mentale."

 

Lors de la 20e édition de Laval Virtual, le salon des réalités virtuelles et augmentées, un bassin rempli d’eau a été installé. Le Dolphin Swin Club propose d’y plonger pour nager avec des dauphins… virtuels. Une attraction a laquelle je n'ai pas pu résister. C'est donc équipée d'une combinaison de plonger mis à disposition par l'association, d'un masque étanche relié à un tuba et à un smartphone qui projette des images à 360°, que je m'immerge dans cette piscine. Et là, la magie opère! Je me trouve plonger à des milliers de kilomètres de Laval (Mayenne) plus exactement dans la mer Rouge égyptienne. Après quelques brasses circulaires, je me décontracte et peux observer un banc de dauphins à mes côtés dans ce bleu azure. La tête sous l'eau, émerveillée par cette expérience, j'en oublie complètement le contexte de ce Salon et du hall « Revolution » qui réunit les projets les plus innovants dans lequel je me trouve en réalité. L'eau servant de conducteur, je peux entendre le chant des dauphins qui résonne. L'enveloppement de l'eau sur ma peau, cette ambiance sourde et relaxante, ce paysage marin qui s'étend devant moi à perte de vue accentuent l'immersion. La réalité est plus brutale lorsque je percute de plein fouet une des vitres de l'aquarium. Il n'est pas évident de se situer sous l'eau et d'appréhender le volume dans lequel nous sommes en flottaisons. Après quelques minutes d'exploration, je remonte le petit escalier, me sèche et reprends ma visite du Salon de Laval Virtual décontractée, relaxée et avec la sensation d'avoir voyager.

Anaïs BERNARD

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Surface fabrication, image fabrication

Publié le 9 Avril 2018 par Anaïs BERNARD dans conférence

Surface fabrication, image fabrication

Nous distinguerons tout d’abord l’artificialité comme projet récent de production d’une subjectivité (l’intelligence artificielle) de l’artefactualité comme projet très ancien de production d’une objectivité (un artefact, quelque chose qui a été voulu et qui n’a plus besoin de cette volonté pour être ce qu’il est).
Après avoir pris acte de la crise d’une définition d’un artefact comme produit de l’art (donc d’une fin) opposé aux produits spontanés de la nature (donc d’une simple cause), nous proposerons de penser des degrés d’artefactualité, c’est-à-dire des degrés d’intégration de représentations dans la production d’objets.
Concevant l’imagination comme la faculté de produire des images, nous envisagerons la possibilité de production artificielle d’images artefactuelles, depuis Niepce ou les publicités de Kodak (« appuyez sur le bouton, nous faisons le reste ») jusqu’au récent réseau neuronal artificiel conçu par des scientifiques japonais pour transcrire des images mentales.
Nous nous demanderons enfin s’il existe une différence entre faire des images et se faire des images, entre l’imagination, productrice d’images extériorisées, et l’imaginaire, création d’images intériorisées.
Reconnaissant l’existence nécessaire d’une imagination artefactuelle, nous estimerons néanmoins qu’il n’existe pas encore d’imaginaire artificiel.

 

Entrée libre et sans inscription
Intervenants : Jussi Parikka et Tristan Garcia
Date et heure : 16 avril 2018 – 14h-16h
Lieu : École Normale Supérieure – salle Dussane
45, rue d’Ulm, Paris 75005

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ExoSkin : une combinaison haptique pour ressentir le Toucher en réalité virtuelle

Publié le 6 Avril 2018 par Anaïs BERNARD dans technologie

ExoSkin : une combinaison haptique pour ressentir le Toucher en réalité virtuelle

NeoSensory, une société spécialisée dans les combinaisons haptiques vient d'annoncer s'être associée à High Fidelity, la plateforme conçue par le créateur de Second Life qui permet de parcourir des mondes virtuels persistants en réalité virtuelle. L'objet de cette association est le lancement d'une version bêta d'une combinaison haptique ExoSkin qui promet de retranscrire des sensations de toucher réalistes, précises et en temps réel dans les mondes virtuels grâce à ses 32 moteurs de vibration.

Cette combinaison est actuellement en pré-commande pour 399$ sur le site de NeoSensory.

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Exposition Case Briques

Publié le 5 Avril 2018 par Anaïs BERNARD dans exposit

Exposition Case Briques

Quand les briques deviennent des pixels ! Venez découvrir la nouvelle exposition temporaire au Pixel Museum autour des jeux vidéo LEGO : Case Briques en collaboration avec l'artiste Kloou et Eric Schweitzer !

Exposition du 11 avril 2018 au 3 juin 2018.
---
Pixel Museum
14 rue de Lattre de Tassigny
67300 Schiltigheim
# Tarifs #
Adulte: 9€
Jeune de 3 à 16 ans : 7€
Moins de 3 ans : Gratuit
Tarif spécial famille
25€ pour 2 adultes et 2 enfants
5€ par enfant supplémentaire
Groupe à partir de 15 personnes
6€ par personne

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17e Forum des Sciences Cognitives

Publié le 1 Avril 2018 par Anaïs BERNARD dans evenement

17e Forum des Sciences Cognitives

Forum des sciences cognitives 2018

Pour cette 17e édition du Forum des Sciences Cognitives, Cognivence vous présente « Explorer le cerveau les yeux fermés : sommeil, rêve, méditation ». Comment notre cerveau fonctionne-t-il lorsque nous dormons ? Comment les rêves surviennent-ils pendant la nuit ? Quels sont les bienfaits de la méditation ?

Pendant la journée du 8 avril 2018, une dizaine de conférenciers et une centaine d’intervenants (entreprises, étudiants, associations, etc.) essayeront de répondre à ces questions. Des ateliers seront mis en place pour permettre au public d’expérimenter le rêve lucide ou encore d’entrer dans un cerveau.

Grâce à ce forum, les visiteurs pourront arborer les divers champs des sciences cognitives (les neurosciences, la psychologie, la linguistique, la modélisation, la psychologie et les sciences sociales) tout en découvrant ces états de conscience que sont le sommeil, le rêve et la médiation. Ces situations, que nous connaissons tous dans notre vie de tous les jours, sont souvent considérées comme mystiques.

Cognivence relève le défi de les expliquer de manière scientifique et abordable pour tous.

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ART PARIS ART FAIR 2018

Publié le 30 Mars 2018 par Anaïs BERNARD dans evenement

ART PARIS ART FAIR 2018

Art Paris Art Fair fête ses 20 ans en 2018. Depuis sa création en 1999, elle s'est imposée comme le rendez-vous majeur à Paris au printemps pour l'art moderne et contemporain. Avec 142 galeries présentant plus de 990 artistes de 73 pays, l'édition 2018 explore l'art européen d'après-guerre à nos jours avec un éclairage particulier donné à la scène française et à la Suisse, pays invité d'honneur, tout en accordant une place aux nouveaux horizons de la création internationale, qu'ils viennent d'Amérique latine, d'Afrique, d'Asie ou du Moyen-Orient.

Foire généraliste ouverte à toutes les formes d'expression y compris la vidéo et le design, Art Paris Art Fair se caractérise par son approche thématique qui met l'accent sur la découverte ou la redécouverte : la Suisse pays invité à l'honneur de l'édition 2018, un regard sur la scène française, nouvelle thématique développé pour le vingtième anniversaire de la foire, les expositions monographiques avec Solo Show, la création émergente avec le secteur Promesses.

Un regard sur la scène française : un choix de 20 artistes pour les 20 ans d'Art Paris Art Fair par François Piron, commissaire d'exposition et critique d'art.
Pour ses 20 ans et en écho à sa vocation d'origine de soutien au marché de l'art français, Art Paris Art Fair a demandé au commissaire d’expositions et critique d'art François Piron de porter un regard subjectif sur la scène française en opérant une sélection de 20 artistes parmi les projets des galeries participantes et en produisant un texte d’analyse de fond. Ce choix met en avant des figures singulières des années 1960 à nos jours qui se sont tenues en indépendance, voire en marge de l'histoire dominante et dont le travail mérite aujourd'hui une relecture et une plus grande visibilité.

La Suisse à l’honneur
Art Paris Art Fair a forgé sa réputation en ouvrant le champ de l’art et en explorant des scènes étrangères. Après l'Afrique, la Suisse est l'invité d'honneur de l'édition 2018. Entre goût de l'épure et humour décalé, la scène artistique suisse est prolifique et diverse à l'image d'un pays à la croisée de différentes traditions et cultures européennes. Confiée à Karine Tissot, historienne de l'art et commissaire d'exposition, cette invitation s'attachera à promouvoir la richesse et la diversité de la scène helvète à travers un riche programme.

Promesses, le soutien aux jeunes galeries et à la création émergente
Réservé aux enseignes de moins de six ans d’existence, le secteur Promesses met en avant 12 galeries prometteuses invitées à présenter un maximum de trois artistes. Le Prix l'art est vivant, Promesses viendra récompenser à un moment clé de sa carrière un jeune talent représenté par les galeries de ce secteur dédié à la création émergente.

Solo Show : 35 expositions monographiques d'artistes modernes et contemporains
L’exposition monographique est un moment privilégié dans le parcours d’un artiste, favorisant la meilleure connaissance de son travail et par-delà, sa reconnaissance. Depuis 2015, Art Paris Art Fair encourage la présentation d'expositions monographiques disséminées au sein de la foire. La 20ème édition se distingue par un nombre record de 35 solo show consacrés à des artistes modernes et contemporains.

À Paris au printemps
Un vent de renouveau souffle sur la France et Paris qui s'affirme plus que jamais comme une capitale mondiale de l'art. Le parcours VIP "A Paris au printemps", conçu en collaboration avec les institutions parisiennes pour les professionnels de l'art et collectionneurs invités, témoigne de l'effervescence de la scène artistique de la ville lumière en avril.

Rendre accessible l'art contemporain
Art Paris Art Fair a pour vocation de rendre accessible l'art contemporain à un public élargi. Quelques 80 visites "décryptage" sont organisées avec l'Observatoire de l'art contemporain. Des outils spécifiques sont mis à disposition du public, en particulier le site internet avec la visite virtuelle de la foire, et ses filtres de recherche par artiste, ordre de prix, origine géographique, technique...Les flyers de présentation pour chaque galerie permettent aux visiteurs de s'informer et de naviguer aisément dans la foire

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ARTISTES & ROBOTS

Publié le 29 Mars 2018 par Anaïs BERNARD dans exposit

ARTISTES & ROBOTS

Exposition ARTISTES & ROBOTS
05 Avril 2018 - 09 Juillet 2018
 

Dans notre monde universellement et uniformément transformé par les progrès de l’intelligence artificielle, ses applications scientifiques, industrielles, financières et domestiques, on pouvait penser que l’art serait, pour paraphraser André Malraux, "le dernier chemin (direct) de l’homme à l’homme". Le projet Artistes & Robots s’intéresse à cet autre aspect du règne de la haute technologie, moins médiatisé mais non moins engagé : l’avènement de l’imagination artificielle. Une machine serait-elle capable d’égaler un artiste ? Un robot pourrait-il se substituer à un peintre ou un sculpteur ? Dans quelle mesure peut-on parler de créativité artificielle ? Léonard de Vinci a dessiné il y a cinq cents ans de nombreux rêves de machines : palais flottant, hélicoptère, char d’assaut, métier à tisser industriel… 
 
Des machines à créer : voilà les œuvres que présente cette première exposition muséographique de la Rmn-Grand Palais qui s’intéresse précisément au sujet de l’imagination artificielle, dans ses différentes matérialisations artistiques et en abordant les grands enjeux que cette révolution technique soulève. Des artistes qui créent des machines qui créent de l’art.
 
Une vingtaine d’installations artistiques (œuvres réalisées entre 1989 et 2017), toutes générées par des logiciels d’ordinateurs, robots conçus, programmés et installés par des artistes de treize nationalités présents dans les collections de nombreux musées de par le monde.
Des œuvres immersives, des tableaux, des sculptures, des mobiles, du cinéma, du design, et de la musique: toutes les créations présentées dans cette exposition sont le fruit de collaborations entre des artistes et des programmes robotiques inventés et mis au service de l’art. Des programmes informatiques non seulement intelligents, mais aussi génératifs de formes et de figures inédites qui donnent à voir et à penser.


L’exposition ARTISTES & ROBOTS bénéficie du soutien d’IBM, de Kinoshita Group, du Crédit Agricole CIB, de la MAIF et d’IMERYS.

 

Lieu:
Rmn - Grand Palais
254/256 rue de Bercy
75577 Paris CEDEX 12

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U-Chronique # 3 - Quand la nature inspire la technologie

Publié le 28 Mars 2018 par Anaïs BERNARD dans evenement

U-Chronique # 3 - Quand la nature inspire la technologie

Comment discuter, découvrir, partager nos connaissances et imaginer l’avenir à partir d’œuvres d’art et de démarches artistiques?
C’est cette question qui anime le cycle de rencontres publiques –Arts, technologies et société– proposé par Les Ensembles 2.2.

Partant d’une sélection d’œuvres apportant chacune un éclairage particulier au thème de la soirée et dans un esprit convivial, nous vous invitons à prêter l’oreille, commenter, partager, proposer et penser les problématiques avec des artistes, chercheurs, techniciens et curieux d’univers différents. 

Pour cette troisième soirée, le thème sera : « Quand la nature inspire la technologie »

Intervenants :
➖Art-Act, artistes plasticiens et curateurs;
➖Gwenaëlle Bertrand et Maxime Favard, designers associés Maxwen-studio, docteurs en design, enseignants et chercheurs du Laboratoire ACCRA, EA 3402;
➖Isabelle Schalk, chercheuse au CNRS en Biotechnologie et Signalisation Cellulaire;

Œuvres commentées :
➖GFP Bunny, Eduardo Kac
http://www.ekac.org/gfpbunny.html#gfpbunnyanchor
➖Shylight, studio DRIFT
http://www.studiodrift.com/work/#/work/shylight/
➖Biotricity, Rasa Smite et Raitis Smits
http://smitesmits.com/Biotricity.html

🗺 Où : Le Salon / Entrée libre

🗺  Quand: Le jeudi 5 avril à 19:00 - 21:00

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