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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

theatre

Le nouveau Ciné Club, création 2013

Publié le 9 Septembre 2013 par Anaïs BERNARD dans evenement, performance, théâtre

Le nouveau Ciné Club, création 2013

Du 19 au 22 septembre 2013,
Tarifs: 15 euros / 12 euros (réduit) / 10 euros (abonnées, adhérents)
Réservez vos places.

 

Que reste-t-il du film une fois qu'il a été vu ?" Pour fouiller dans les mémoires, ildi ! eldi créent un ciné club performatif d'un genre nouveau, qui croise cinéma et théâtre. En complicité avec Olivia Rosenthal, ils entreprennent de nous raconter leurs souvenirs de deux chefs-d’œuvre du septième art : les Parapluies de Cherbourg, de Jacques Demy, et Alien, de Ridley Scott.

 

Ils ne sont pour rien dans mes larmes (Ciné Club 1)
Toutes les femmes sont des aliens (Ciné Club 2)

 

"Les choses s’impriment deux fois : une fois sur la pellicule, une fois dans le spectateur", écrit Serge Daney. On pourrait ajouter que, une fois imprimées dans le spectateur, elles s’insinuent en lui pour bientôt participer à sa mémoire intime.

Que reste-t-il d’un film quand on l’a oublié ? Ou quand on ne l’a pas oublié ? Voilà le genre de questions auxquelles s’intéresse Le Nouveau Ciné Club, une série de performances imaginée par le collectif ildi ! eldi. Dans son ouvrage Ils ne sont pour rien dans mes larmes, la romancière Olivia Rosenthal pose la question : "Quel film a changé notre vie ? ".

C’est en lisant ce livre que Sophie Cattani et Antoine Oppenheim ont eu l’idée de créer une rencontre - différente à chaque performance - entre le théâtre et le cinéma. Avec ces deux premières créations et en complicité avec Olivia Rosenthal, ils interrogent notre mémoire du cinéma.

Que ce soit en racontant Les Parapluies de Cherbourg  de Jacques Demy ou Alien (une tétralogie réalisée à partir d’une idée originale de Ridley Scott), ils se livrent à un exercice qui est aux confins de l’analyse filmique, de la confession intime et du résumé halluciné.

 

Distribution :

Création : collectif ildi ! eldi
Textes : Olivia Rosenthal
"Les larmes" est tiré de Ils ne sont pour rien dans mes larmes, Verticales, 2012.
Mise en scène et interpétation : Sophie Cattani et Antoine Oppenheim
Vidéo : Antoine Oppenheim, Colas et Mathias Rifkiss
Lumières : Ludovic Bouaud.

 

Horaires :

Ciné Club 1

19 septembre / 20h30
21 septembre / 15h
22 septembre / 19h

Ciné Club 2

20 septembre / 19h30
21 septembre / 20h30
22 septembre / 15h

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Mr & Mme rêve - La danse au coeur de l'irréalité virtuelle.

Publié le 14 Juillet 2013 par Anaïs BERNARD dans artiste, evenement, théâtre

Mr & Mme rêve - La danse au coeur de l'irréalité virtuelle.

C’est l’histoire de deux êtres imaginaires qui traversent le temps, fabulent leur vie, rêvent leur amour et se mesurent au réel l’espace d’un instant, celui d’un spectacle insolite et drôle qui défile sous nos yeux à la vitesse d’une étoile filante…

Imaginez-vous danser dans le cosmos, nageant au milieu des mots, assister à une chorégraphie de rhinocéros tout en découvrant un monde étrange et pourtant si familier… Vous n’aurez qu’une seule envie : savoir qui sont ces 2 mystérieux personnages évadés du cerveau d’un géant et connaître leur histoire.
 
Pour la première fois, les projections sur une surface de 200m²
créent un univers immersif réagissant en symbiose avec les danseurs.
 
Et si la réalité virtuelle immersive et les technologies de simulation utilisées au quotidien dans l'industrie permettaient d'inventer un nouveau langage scénique au service de l'imaginaire?
En moins d’un an, ils ont créé avec Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault un spectacle d'un genre nouveau, donnant à voir et sentir l'irréalité virtuelle, celle de l'imaginaire.
C'est à cette question dont la réponse se trouve à la croisée de l'art, de la science et de la technologie, qu'une équipe d'ingénieurs - créatifs passionnés deDassault Systèmes a répondu.
Mr & Mme rêve - La danse au coeur de l'irréalité virtuelle.
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SANS OBJET

Publié le 16 Mai 2013 par Anaïs BERNARD dans théâtre

Théâtre: le Vendredi, 31 Mai 2013, à 20h30 et le Samedi, 1 Juin 2013, à 20h30.
Par Aurélien Bory.

 

Odyssée chorégraphique pour robot et acrobates.

Aurélien Bory crée des spectacles mêlant cirque, danse et performance artistique.
« Avec Sans objet j’ai voulu introduire sur scène un robot industriel ayant la force de déplacer des éléments de décor aussi bien que des acteurs. La machine devient un protagoniste à part entière. Il s’agit d’un bras articulé, mécanique. On l’utilise comme une « marionnette » – un être 100% technologique – dans son dialogue avec un homme contemporain ordinaire. Ces personnages sont obligés de cohabiter sur scène, dans l’impossibilité de s’ignorer.
C’est comme si l’homme d’aujourd’hui était composé de deux facettes : il est encore du côté de l’humain, mais de plus en plus dans la technologie. Ce rapport entre l’homme et la machine est en pleine évolution. Le robot est arrivé dans le monde industriel dans les années 70 ; l’idée est de l’extraire de son milieu en le plaçant sur scène. Il devient « sans objet », acteur. On observe un double mouvement : le robot tend à s’humaniser, et l’homme à se robotiser. La performance est au coeur de cette question. Autrefois, pour mettre à l’épreuve ses capacités, il se mesurait à l’animal. Aujourd’hui le défi est dans la technologie.
Ainsi dans la surprise de sa danse avec l’homme, le robot déplacé de son contexte industriel – devenu fonctionnellement inutile–, nous rappelle à la nature même de l’art : être absolument sans objet ? »
Propos d’Aurélien Bory.

SANS OBJET

Production Compagnie 111- Aurélien Bory / Coproduction TNT-Théâtre National de Toulouse Midi-Pyrénées, Théâtre Vidy-Lausanne E.T.E, Théâtre de la Ville-Paris, La Coursive-Scène nationale La Rochelle, Agora-Pôle national des arts du cirque de Boulazac, Le Parvis-Scène nationale Tarbes-Pyrénées / Avec l’aide de London International Mime Festival / Résidence TNT-Théâtre National de Toulouse Midi-Pyrénées / Remerciements à L’Usine, lieu conventionné Arts de la rue - Tournefeuille / La Compagnie 111- Aurélien Bory est conventionnée par le Ministère de la Culture et de la Communication-Direction Régionale Affaires Culturelles Midi Pyrénées, la Région Midi Pyrénées et la Ville de Toulouse. Elle reçoit le soutien du Conseil Général de la Haute-Garonne.
La Compagnie 111- Aurélien Bory bénéficie du soutien de la Fondation BNP Paribas pour le développement de ses projets. La Compagnie 111- Aurélien Bory est artiste associé au Grand T, scène conventionnée Loire-Atlantique.

 

Avec : Olivier Alenda, Olivier Boyer / Conception, scénographie et mise en scène : Aurélien Bory / Pilote – programmation robot : Tristan Baudoin / Composition musicale : Joan Cambon / Création lumière : Arno Veyrat / Conseiller artistique : Pierre Rigal / Assistante à la mise en scène : Sylvie Marcucci / Son : Joël Abriac ou Stéphane Ley (en alternance) / Costumes : Sylvie Marcucci / Décor : Pierre Dequivre / Accessoire moniteur : Frédéric Stoll / Patine : Isadora de Ratuld / Masques : Guillermo Fernandez / Régie générale : Arno Veyrat / Production, administration, diffusion : Florence Meurisse, Christelle Lordonné.

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Soirée Théâtrocervicale à moins qu'elle ne soit cérébrothéâtrale...

Publié le 13 Mars 2013 par Anaïs BERNARD dans théâtre, performance

Soirée Théâtrocervicale à moins qu'elle ne soit cérébrothéâtrale... une soirée concoctée à 2 boîtes crâniennes, 4 mains, 412 os...

Gaëtan Sanchez, étudiant-chercheur qui travaille plus précisément sur la communication entre cerveau et ordinateur, et Claire Truche - metteur en scène - ont emmêlé leurs neurones afin d'inventer ensemble un objet hybride, où le théâtre parlera de cerveau... à moins que ce ne soit l'inverse.

Où il sera - peut-être - question des interactions secrètes et invisibles qui se produisent entre acteurs et spectateurs, qui font qu’une représentation n'est jamais ni tout à fait la même ni tout à fait une autre...

L'occasion d'évoquer les neurones miroirs, la fabuleuse plasticité du cerveau, nos capacités d'adaptation à la nouveauté, aux surprises... 

En bref, nous souhaitons convier les spectateurs à une soirée où nous expérimenterons en direct avec eux quelques hypothèses, des plus prouvées aux plus imaginaires...

Inserm / www.rhone-alpes-auvergne.inserm.fr
Centre de recherches en neurosciences de Lyon / http://crnl.univ-lyon1.fr/index.php/fr

 

 

Le 13 mars 2013 de 18:30 à 20:00  
 
Entrée libre  
Adultes 
 
Médiathèque du Bachut - 2 place du 11 novembre - 69008 LYON.
   
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Festival Hybrides 2013

Publié le 9 Mars 2013 par Anaïs BERNARD dans festivals, theatre

 

Comme l’explique Julien Bouffier, directeur artistique d’Hybrides depuis sa première édition en 2009, le festival est animé par le souci constant de l’actualité. Comment les artistes créent-ils des dispositifs pour pouvoir s’en faire l’écho, le témoin, le lecteur, le relais ? Comment rendre le théâtre documentaire possible ? Comment manipuler réel et fiction dont l’équilibre reste fragile ?

Le théâtre documentaire devient nécessité car, par sa nature, spectacle vivant, il a toujours éveillé et bousculé les consciences, et peut être moteur dans le théâtre contemporain. Par ses recherches et créations, il s’interroge sur la place et le rôle du théâtre dans l’espace citoyen, sur la responsabilité de l’artiste face au monde.

Médiateur du réel, défenseur d’un théâtre qui parle du monde d’aujourd’hui, le festival Hybrides explore des formes qui allient la musique, la danse, la vidéo, la BD, le nouveau cirque...

Le festival aura lieu du 9 au 14 avril 2013
hybrides.over-blog.com
06 33 37 18 81

 

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Des couteaux dans les poules

Publié le 24 Février 2013 par Anaïs BERNARD dans théâtre

Des couteaux dans les poules

À l’orée d’une campagne, une jeune femme analphabète, soumise à un mari laboureur, s’enferme dans une vie figée, autarcique. Une rencontre avec un homme érudit, le meunier détesté de tous en raison de son savoir, va bouleverser son chemin. Un nouveau monde s’ouvre à elle. Elle se libère alors, apprenant à dire et écrire ses maux. Mais ce triangle amoureux s’avère vite dangereux. Ce récit, en tension, d’une histoire où se mêlent le désir à la soif de connaissance, l’adultère au meurtre, parvient à faire éclore cette métamorphose sous nos yeux ébahis par les chocs rétiniens pro-voqués par la mise en scène. Les savants jeux de lumière et effets numériques, les projections graphiques, la musique originale composée par Robert le Magnifique, la spatialisation, tout cela rend cette expérience particulièrement intense. L’histoire poignante, la force de la mise en scène et du jeu nous saisissent à chaque instant. Une véritable ode à la langue, à la force des mots et au théâtre.

 

Date: 26 mars 2013, à 20h45, au Théâtre Impérial.
Durée: 1h10.

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Aucun homme n'est une île

Publié le 21 Février 2013 par Anaïs BERNARD dans théâtre

Aucun homme n'est une île

 

À travers cette histoire simple, la pièce de Fabrice Melquiot, l’un des auteurs qui a le mieux renouvelé le théâtre pour enfants, fouille notre relation à l’artificiel, aux autres et à nous-mêmes. Face à face, un comédien et un personnage de réalité virtuelle. De l’écran à la scène, le dialogue se noue, mais à cause d’une fille, les deux personnages finissent par s’affronter « à mains nues contre écran plat ».

 

Voilà un échange bien vivant, donc, presque un duel, qui met en relief les problèmes soulevés par les nouvelles technologies désormais bien ancrées dans notre quotidien. Cette pièce sur l’interface homme-machine nous invite à comprendre comment prend corps, ici et maintenant, notre présence numérique.

 

Le travail corporel de l’acteur sur scène, l’interaction gestuelle et le traitement musical nous font pénétrer dans des mondes virtuels incroyablement concrets et sensibles.

 

Une invitation à découvrir en famille des ailleurs si loin, si proches. Un spectacle original qui touchera tous ceux qui s’intéressent à notre monde en devenir.

 

Date:

19 mars 2013, à 20h00.

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Une pièce de théâtre entre humains et robots.

Publié le 19 Février 2013 par Anaïs BERNARD dans theatre, evenement

Une pièce de théâtre entre humains et robots.

Le Japan Robot Theater Project de la Seinendan Theater Company permet à travers ses créations d’associer sur scènes humains et robots. Le collectif a livré ses premières représentations à New York ces derniers jours.

 
A l’origine, il y a eu le pari un peu fou d’un dramaturge japonais, Oriza Hirata, directeur de la Seinendan Theater Company, de proposer des pièces dans lesquelles des robots joueraient les rôles de serviteurs des humains. Avec l’aide d’un chercheur en robotique de l’université d’Osaka, il a pu mener à bien son pari, et ainsi monter ses premières petites pièces. Deux d’entre elles, "Sayonara" et "I, Worker" ont été jouées pour la première fois sur le continent américain (elles ont été auparavant présentées notamment en France, au théâtre de Gennevilliers), dans les locaux de la Japan Society, organisation visant à rapprocher les cultures nippone et américaine, du 7 au 9 février dernier.
 

Dans ces deux pièces, robots et humains interagissent comme naturellement, à plus forte raison dans "Sayonara", qui met en scène un modèle d'androïde appeléGeminoid F, (situé sur la gauche de la scène dans les extraits de la vidéo), qui ressemble à s’y méprendre à un être humain, y compris au niveau de la voix, et capable de cligner des yeux, bouger les lèvres et douée d’expressions faciales évoluées.

"Sayonara" raconte la relation entre l’androïde Geminoid F et une jeune femme atteinte d’une maladie en phase terminale pour laquelle elle officie comme lectrice de poésie.  "I, Worker" narre quant à elle l’histoire d’un couple qui vient de perdre son enfant et dont le mari se retrouve au chômage, et dont l’un des robots domestiques se laisse peu à peu envahir par la perte d’envie d’effectuer ses tâches quotidiennes.

On ne sait pas encore si l’expérience sera répétée ailleurs dans les temps à venir, mais de l’avis du dramaturge, ce genre de performances devrait se multiplier à l’avenir, confiant qu’il est dans l’alchimie qui se noue entre les différents acteurs sur la scène. Selon lui, d’ailleurs, la différence entre hommes et robots n’a même plus raison d’être au théâtre : "l’une des questions que l’on nous pose concerne la capacité des robots à penser. Ils ne pensent pas. Pas plus que les acteurs."

Via Mashable

Par Julien Lada

 

Merci à Luc S. pour sa proposition.

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Trocadéro (titre provisoire)

Publié le 17 Février 2013 par Anaïs BERNARD dans théâtre

Trocadéro (titre provisoire)

 

Baroque dans l’âme, Montalvo aime confronter les styles chorégra-phiques : ici, danse urbaine et contemporaine se mêlent avec la commedia dell’arte, genre dans lequel le cinéma burlesque puise ses sources. Le Don Quichotte de Cervantès est également trempé dans cette encre-là, celle de la fantaisie bouffonne. S’inspirant de l’adaptation chorégraphique de Marius Petipa, Montalvo propose une réécriture déjantée de certains de ses fragments.

 

Cette réflexion sur le comique de geste et de mouvement se nourrit aussi d’un hommage à Louis de Funès, à travers le texte de Valère Novarina. Cet acteur populaire n’est-il pas un grand représentant du burlesque ? Sur scène, Patrice Thibaud, génial comédien, mime, danseur, auteur de CocoricoJungles et Fair- Play, s’en donne à cœur joie, lui que l’on compare d’ailleurs souvent à Louis de Funès. Entouré de 13 autres interprètes, il revisite cette tradition de la farce.

 

Aujourd’hui, Patrice Thibaud fait partie de ceux qui incarnent le mieux la démesure du jeu comique. Son sens du loufoque et sa virtuosité sont au service de cette chorégraphie dont le personnage principal trouve l’imagination comme parade à l’enfer. Celui-ci transcende sa vie par le rêve, se plaisant à croire, même l’espace d’un instant, qu’il est un autre. Une création inventive où l’image virtuelle trouve, donc, tout naturellement sa place.

 

Une danse généreuse, jubilatoire et iconoclaste, aux images foisonnantes, qui dit le plaisir des corps en mouvement et l’éclat de leur mélange.

 

Dates:

12 mars 2013, à 20h45;

13 mars 2013, à 20h45.

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La Belle et la Bête

Publié le 10 Février 2013 par Anaïs BERNARD dans théâtre

La Belle et la Bête

 

Une jeune artiste peintre croise sur son chemin un homme défiguré, reclus dans son manoir depuis la tragédie qui a fait basculer sa vie. Le choc de leur rencontre bouleversera jusqu’à leurs plus profondes résistances. Une histoire actuelle qui vient de la nuit des temps, sur le pouvoir de l’art et l’amour rédempteur. Des personnages de légende, mais qui nous ressemblent, car ancrés dans notre monde : La Belle, égarée au XXIe siècle, et cette Bête qui s’abreuve encore aux sources de l’amour romantique sont en proie à la même solitude.

 

Ils inspirent conteurs, romanciers, poètes, cinéastes. Ainsi, on a en mémoire le film de Cocteau, dont les images extérieures ont été tournées au Château de Raray, dans l’Oise, non loin de Compiègne. Aujourd’hui, ce sont Michel Lemieux et Victor Pilon qui inventent une version de notre temps, imaginant des doubles virtuels saisissants. Du coup, la salle Ravel devient enchantée comme le château de la Belle : dans des décors qui débordent parfois du cadre de scène, les fantasmagories prennent forme. Heureusement, au-delà des miroirs cassés, la Belle et la Bête font fi des apparences trompeuses pour s’élever l’une vers l’autre.

 

Les interprètes tiennent le public sous leur charme. C’est précisément leur interaction avec ces présences fabuleuses qui créent le sel de ce grand spectacle.

 

Du merveilleux plein les mirettes. Ah ! Quand le numérique se fait féérique… Une histoire d’ici et maintenant pour tous.

 

 

Théâtre, Arts numériques
Dès 12 ans
Durée : 1h30
Dates:
5 mars 2013, à 20h45;
6 mars 2013,  à 20h45.

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