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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

Ère de jeux #3 - Queer Games

Publié le 19 Février 2018 par Anaïs BERNARD dans conférence

Ère de jeux #3 - Queer Games

Rencontre: Ère de jeux #3 - Queer Games
Mardi 20 février 2018 à 19h

Le terme de « queer games » est souvent employé pour parler d'un ensemble très vaste de jeux créés par et pour des personnes queers, souvent épuisé·es d'être invisibles ou représenté·es par des stéréotypes blessants dans les jeux vidéo. Ces conceptrices et concepteurs reprennent possession d'un média, le jeu vidéo, et de ses moyens de production, pour créer des jeux et y représenter des identités, des situations, des corps et des sexualités diverses. Au-delà des représentations, il s'agit aussi de créer des jeux accessibles, peu coûteux ou gratuits, qui ne demandent pas un temps long de jeu ou d'apprentissage, et de promouvoir d'autres modes de conception, de production et de diffusion des jeux vidéo. Comment ces jeux s'inscrivent-ils dans une histoire du genre et des critiques féministes des jeux vidéo ? Comment viennent-ils questionner les modalités habituelles de production des jeux ? C'est en jouant à quelques-uns d'entre eux que nous tenterons de répondre à ces questions.

INFOS
Gratuit dans la limite des places disponibles

INVITEES
Marion Coville
Marion Coville est chercheuse et s'intéresse aux approches féministes des sciences et techniques. Elle est présidente de l'Observatoire des Mondes Numériques en Sciences Humaines. Au sein du hackerspace Le Reset, elle co-organise les ateliers queer games avec Zora, Sam, Izawenn et Alicemonade.

Zora
Zora est co-fondatrice du hackerspace Le Reset, un espace de bidouille et d'apprentissage des technologies numériques qui adopte une perspective queer et féministe. Elle est actuellement présidente de l'association qui se charge de le faire vivre. Dans ce cadre, elle co-organise également les ateliers queer games.

Sam, Izawenn et Alicemonade de l'atelier queer games seront aussi présent-es pour échanger au cours de la soirée.

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Résonances & modulations

Publié le 18 Février 2018 par Anaïs BERNARD dans conférence

Résonances & modulations

Depuis le début des années 80, Alain Wergifosse (Barcelone-Liège) amplifie des objets, manipule électroniquement les sons, le larsen et compose des vidéos expérimentales interactives. Il a participé, depuis Barcelone, à d’innombrables projets d’improvisation et performance sonore comme le power trio oBmuz, des concerts solos en live electronics collaborant avec de nombreux artistes sonores et multimédiatiques dont Nad Spiro, Eli Gras, Zbigniev Karkovski ou encore Francisco Lopez.

Il a composé la musique et les interactions sonores de la plupart des performances de Marcel.lí Antúnez (ex Fura dels Baus) et a réalisé quelques musiques de films comme « Petite Anatomie de l’Image » d’Olivier Smolders. En septembre 2017, le festival City Sonic (Charleroi) l’a invité à montrer plusieurs nouvelles installations et performances après une résidence au Vecteur accueillie par Transcultures.

Informations
22.02.2018 | 11:30
Carré des Arts (auditorium)
4a rue des Soeurs noires, Mons
gratuit
artsaucarre.be/artsnumeriques


Production
Dans le cadre du cycle Emergences numériques et sonores conçu par Transcultures et l’école des arts de Mons Arts2, Alain Wergifosse présentera sa démarche pionnière créatrice de résonances et modulations sons/images contextuelles et inventives.

La présentation-conférence ouverte à tous sera suivie l’après-midi d’une rencontre avec les étudiants d’Arts2

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Aibo – un chien robot ultra-réaliste

Publié le 17 Février 2018 par Anaïs BERNARD dans technologie

Aibo – un chien robot ultra-réaliste

Sony vient de dévoiler Aibo, son nouveau chien robot ultra-réaliste et connecté ! Ce nouveau modèle Aibo ERS-1000 marque le grand retour du chien robot de Sony, dont la production avait été arrêtée en 2006. Force est de constater que les robots grand public ont bien évolués en 10 ans !

Aibo est plein de charme avec des yeux ronds et séduisants possédant une traction puissante. ce mignon compagnon robotique se déplace avec une énergie contagieuse, et une identité qui n'attend qu'à être explorée et découverte.Cette nouvelle version du chien robot Aibo est truffée de capteurs, et embarque une intelligence artificielle. Avec son design, ses mouvements beaucoup plus réalistes, et ses yeux en écrans Oled, le Aibo de Sony est très expressif, et sera capable de réagir aux caresses et aux mots, mais aussi de reconnaître les gens pour interagir avec eux. Il possède également deux caméras fish-eye pour cartographier son environnement.

Le Aibo ERS-1000 sera connecté à une plateforme de cloud, ce qui permettra à Sony de collecter les données de tous les chiens, afin d’améliorer leurs comportements au fil du temps. Le nouveau chien robot Aibo sera disponible dès janvier 2018 pour environ 1500€.

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Nicolas Schöffer. Rétroprospective

Publié le 16 Février 2018 par Anaïs BERNARD dans exposit

Nicolas Schöffer. Rétroprospective

Cette exposition consacrée à l’œuvre de Nicolas Schöffer, artiste français d’origine hongroise (1912-1992), prend le parti de la “prospective” plutôt que “rétrospective” tant la démarche visionnaire de l’artiste est emblématique d’un état d’esprit tourné vers une recherche permanente, en phase – et même, si possible, en avance – avec la culture scientifique et l’environnement technologique de son temps.


L’époque qu’incarne Nicolas Schöffer est celle de la Reconstruction et des Trente Glorieuses, quand la société tout entière imaginait son futur comme le fruit de progrès exponentiels et l’accroissement de savoirs de mieux en mieux partagés. Pour exemple : dès la fin des années 1940, Nicolas Schöffer embrasse les recherches les plus novatrices – la cybernétique –, et en fait le point de départ d’une réflexion sur les buts et les moyens de l’art qui bouleversera radicalement son aspect et ses procédures.


De son vivant, les innovations de Nicolas Schöffer ont suscité des réactions immédiates, et l’ont porté à un degré de notoriété que peu d’artistes de sa génération ont connu. Grand prix de sculpture de la Biennale de Venise 1968, il est célébré ou détesté, et personnifie une décennie où le futur est encore investi par ses contemporains.


Cette reconnaissance, qui se traduit également par une forte présence médiatique, contraste aujourd’hui avec le relatif oubli dans lequel Nicolas Schöffer est tombé. Sa dernière grande exposition dans une institution muséale française remonte à 1974, au Musée d’art moderne de la Ville de Paris, année qui succède à celle du premier choc pétrolier, et qui ouvre une ère de crises, de doutes et d’incertitudes face auxquelles les mythologies futuristes des âges précédents ne résistent plus.


L’œuvre et la pensée prospectives de Nicolas Schöffer trouvent cependant une actualité nouvelle à l’heure où de nouvelles utopies cybernétiques se font jour, et façonnent à nouveau notre univers matériel (la société de l’information, les nouvelles cultures numériques) comme nos imaginaires (le village global, le post-humain). Ce contexte justifie la tenue aujourd’hui d’une manifestation examinant en détail le parcours d’une œuvre plus inspirante que jamais.


Développée selon neuf chapitres, cette exposition exceptionnelle s’attachera plus particulièrement la dimension visionnaire de Nicolas Schöffer à partir d’une sélection de sculptures, de peintures, de dessins et de documents emblématiques de son œuvre, dont des inédits provenant directement de l’atelier et du fonds d’archives de l’artiste. Ses projets les plus exploratoires et ses collaborations expérimentales transdisciplinaires avec les architectes, les musiciens, les chorégraphes, les scientifiques ou les industriels de son temps seront complétés par des documents d’époque – films, photographies, magazines, publicités – réinscrivant chacun d’entre eux dans son contexte de création, de diffusion et de réception.


Exposition a découvrir du 23/02/18 au 20/05/18, au LaM.

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Robots, poupées et techno-réalités au Japon. La fabrique des êtres artificiels

Publié le 16 Février 2018 par Anaïs BERNARD dans conférence, artiste

Robots, poupées et techno-réalités au Japon. La fabrique des êtres artificiels

Le groupe d'études Populations Japonaises organise une journée d'études intitulée "Robots, poupées et techno-réalités au Japon. La fabrique des êtres artificiels".

Avec la participation d'Agnès Giard (Sophiapol, EA 3932, université Paris Nanterre), Zaven Paré (Université d’État de Rio de Janeiro, École supérieure de design industriel), Sasa Yûko (ISIR, UMR 7222, Sorbonne université).
Discutant : Yatabe Kazuhiko, université Paris Diderot
 
Vendredi 16 février 2018
14:00 - 17:30
Salle 3.08
Inalco - 65 rue des Grands Moulins 75013 Paris

Zaven Paré (université d’État de Rio de Janeiro, École supérieure de design industriel)
Pourquoi faut-il prendre soin des robots ?
 
Résumé: Tout comme l'étude des singes ne sort jamais du paradigme de l'hominisation en se référant systématiquement aux jeux des similitudes du comportement social, du cerveau et de la génétique; les développements des recherches en robotique placent les robots comme un nouveau miroir culturel, illustrant des paradigmes tout aussi prégnants.
Alors pourquoi faudrait-il commencer à se mettre à la place des robots pour les étudier vraiment?
Quel est leur regard sur nous, notre environnement, ou la société japonaise, par exemple?
Comment voient-ils l'avenir, avec ou sans eux?
Sont-ils simplement de serviles compagnons?
Est-il possible d'envisager que les robots passent du statut de propriété au statut de personne juridique: pourquoi et comment?
 
Sasa Yuko (ISIR, UMR 7222, Sorbonne université)
De relations humaines étiolées aux robots gluants
 
Résumé: Comment les humains rentrent-t-ils en relation communicante ? Certains « bruits de bouche » porteraient l’essence de mélodies qui constitueraient des primitives : ce sont des outils porteurs de socio-affects intentionnels capables de lier les personnes par une « glu socio-affective ». Ce lien serait comme un canal, qui s’il n’existait pas, ne pourrait pas véhiculer les éléments du langage (les mots, la voix, le regard, les expressions faciales, la posture, etc.). Certaines primitives vocales ont fait l’objet d’une étude perceptive comparative entre juges français et japonais, certaines communément perçues, mais dans ce cas sont-elles innées ou universelles ? D’autres encore sont fortement marquées culturellement à travers de faux-amis. Quel serait alors le potentiel universel de tels outils langagiers ? La présentation s’illustrera par une étude menée avec le robot Emox qui est utilisé comme un moyen d’observation, de capture et de simulation de la glu, pour instrumenter ce phénomène de construction relationnelle. Dans le rôle de majordome domotique d’un habitat intelligent, Emox est introduit auprès d’une vingtaine de personnes âgées, fragilisées par un isolement relationnel. À travers les commandes vocales, les interactions, qui sont contrôlées pour le robot, mais spontanées pour les personnes, changent progressivement. Leurs variations multimodales d’expressions communicantes, et l’évolution de la glu socio-affective sont ainsi mesurées, analysées et modélisées dans un système de dialogue fondé sur la courbe de glu. À terme, ce système est voué à évoluer sur le long terme, dans notre quotidien où la communication humaine fabrique cette glu. Le Japon, fortement marqué par le vieillissement de sa population, pointe également ce problème de l’isolement relationnel non psychopathologique et touche à travers d’autres populations plus jeunes tels que les hikikomoris, car sa nature socio-culturelle est sensible à ce problème d’isolement.
 
Agnès GIARD (Sophiapol, EA 3932, université Paris Nanterre)
Simulacres amoureux, stratégies d’échec : le corps de la contradiction
 
Résumé: Alors que sa population décroit, le Japon est devenu le premier producteur mondial de créatures de synthèse destinées à combler le vide. De façon révélatrice, le boom des simulacres d’humains est en grande partie imputable aux célibataires, dont le nombre ne cesse d’augmenter. Comment expliquer ce phénomène ? A rebours d’un certain discours moralisant qui désigne les simulacres comme des « agents de déconnexion », j’aimerais faire de ces produits des amplificateurs de tendance, dont ils pointent la nature iconoclaste : il est mal-vu au Japon de ne pas fonder un foyer. Encore plus mal vu de consacrer son temps et son énergie à une relation affective avec un être qui n’existe pas. Pour quelles raisons une part de la population s’inscrit-elle à contre-courant de la norme ? En resituant ces simulacres dans le contexte économique et culturel du Japon, cette étude entend saisir la production de présences « virtuelles » au prisme de ce que Foucault nommerait une hétérotopie de crise. M’appuyant sur l’hypothèse que les simulacres se font volontiers les complices de stratégies obliques, je poserai le postulat que la préférence affichée pour des personnages fictifs relève d’une attitude provocatrice au regard des standards culturels ambiants. Serait-il possible, pour aller plus loin, d’analyser ce phénomène comme une forme de dissidence : la dissidence matrimoniale ? 

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La belle synthèse plasticienne

Publié le 15 Février 2018 par Anaïs BERNARD dans conférence

Miguel Almiron, Trilogie, 1999

Miguel Almiron, Trilogie, 1999

La belle synthèse plasticienne
sélection et présentation par Anne-Sarah Le Meur
jeudi 22 février
20h30

Autour de son exposition personnelle, Anne-Sarah Le Meur présentera son travail en cours et une sélection d'œuvres en image 3D, anciennes et récentes. Réalisations abstraites, compositions aux figures suggérées ou œuvres franchement narratives, ces images ont toutes en commun une certaine qualité organique et plastique, et explorent l'espace et la matière.

La soirée se focalisera, d'une part, sur les productions issues du département ATI de l'Université Paris 8, où Anne-Sarah Le Meur a elle-même étudié : réalisations d'enseignants / artistes (Michel Bret, Hervé Huitric et Monique Nahas) ou d'autres étudiants (Miguel Almiron, Chu-Yin Chen...). D'autre part, elle réunira des œuvres rencontrées de par le monde (Yoichiro Kawaguchi, Lise-Hélène Larin, Robert Seidel, Sara Ludy) croisant diverses générations.

En présence de certains artistes.

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LED Sound Reactive, un masque qui réagit à la musique

Publié le 14 Février 2018 par Anaïs BERNARD dans technologie

LED Sound Reactive, un masque qui réagit à la musique

Il y a 9000 ans, le premier masque a été créé. Utilisé pour déguiser ou révéler un trait de personnalité, les masques sont présents dans chaque culture à travers l'Histoire. Le masque LED Sound Reactive fait un pas en avant. 

Un masque électroluminescent pour les amateurs d'art et de musique, avec 8 nouveaux designs. Il intègre l'art et la technologie dans un dispositif très polyvalent qui hypnotise quiconque le voit. 

Le masque LED retranscrit toute sorte de musique et tout type de rythme dans des Illuminations incroyables.   
Nos masques sont facilement portables, pliables et réglables. Comme un costume ou un accessoire de musique pour toute occasion, ils sont le compagnon idéal.   
Après avoir complété avec succès notre première campagne Kickstarter, nous sommes fiers de vous présenter notre nouvelle collection.   

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human+. the future of our species

Publié le 13 Février 2018 par Anaïs BERNARD dans exposit

human+. the future of our species

Cyborgs, surhumains et clones. Evolution ou extinction? Qu'est-ce que cela signifie d'être un humain aujourd'hui? Qu'est-ce que cela fera d'être un humain dans cent ans? Les capacités technologiques augmentent à un rythme rapide - devons-nous continuer à modifier nos esprits, nos corps et notre vie quotidienne, ou y a-t-il des limites que nous ne devrions pas dépasser?

HUMAN +: the futur of our species est une exposition qui explore les trajectoires potentielles futures de l'humanité en considérant les implications des technologies historiques et émergentes, du 27 février 2018 au 1er juillet 2018, au Palazzo Delle Esposizioni, à Rome. Le symbole 'plus' dans Human + implique une direction positive pour le futur de notre espèce. Mais quelle est cette direction? Pendant la majeure partie du XXe siècle, le progrès a été mesuré par une vitesse et une efficacité accrues - plus vite, mieux, plus fort - mais les effets secondaires ont été plus gros, plus tristes et épuisés. Notre définition du succès doit être recalibrée.

Le 21ème siècle sera caractérisé par la confluence de domaines tels que la biotechnologie, la robotique et l'intelligence artificielle. Manipuler les processus biologiques, contrôler les machines numériques et mécaniques et créer des intelligences non biologiques au-delà de ce que les humains peuvent comprendre, ces avancées soulèvent des questions éthiques sur l'appropriation de la vie et l'altération de soi. Les forces convergentes de ces courants et d'autres nous conduiront à un endroit nouveau et inconnu.

Des provocations subtiles aux grands gestes, les œuvres d'art de cette exposition examinent comment ces changements pourraient être adoptés et assimilés. La valeur dans la spéculation n'est pas la prédiction, mais la réflexion. Que cherchons-nous?

Nous concevons notre avenir, consciemment ou non, et chaque créateur, quelle que soit sa discipline, jouera un rôle dans ce processus. Dans cette exposition, des artistes, des concepteurs et des scientifiques spéculent et imaginent de nombreux futurs possibles. Maintenant c'est ton tour.

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Art Numérique Digital: Art 2.0

Publié le 12 Février 2018 par Anaïs BERNARD dans exposit

Art Numérique Digital: Art 2.0

Exposition d'art numérique au Studio411

Le Studio411 présente son nouveau projet exposition..

...Avec Ben Dante, Michel Ferrand, Charley James, Igor Goryunov, Black Smith, Anne-Lyse Delvaux, Acroméga, Rubiant, Mara, Paul-louis Léger, Joris Brantuas et Kévin Mahu


Exposition du 3 Février au 24 mars 2018

Nouveau décors et installations afin de découvrir des œuvres uniques, reproductions et etc...
Rendez vous du Mardi au Samedi 
de 11h00 à 13h00 et de 14h30 à 18h30

 VERNISSAGE le samedi 3 Février à partir de 19h00 //

En présence des artistes !
et un CONCERT MUSCIENS, DJ et surprises ... pour le bien être de nos oreilles ! 
Soirée que l'on vous déconseille de rater ;)

• CONCERT DE JELLY Rolls Sweet Band ! (20h00)
• DJ en live
• Découverte de la nouvelle exposition 
• Apéritif 
• Gourmandises ! 

Le tout dans une ambiance décontractée ! 

EXPOSITION ART NUMERIQUE DIGITAL: ART 2.0 au Studio411 

Du 3 Février au 24 mars 2018 
Exposition des artistes : 

Ben Dante, Michel Ferrand, Charley James, Igor Goryunov, Black Smith, Anne-Lyse Delvaux, Acroméga, Rubiant, Mara, Paul-louis Léger, Joris Brantuas et Kévin Mahu
Entrée gratuite (exposition et vernissage)
• Buvette associative (Adhésion 1 euro)

STUDIO411
19 avenue Goerges Clemenceau 
34000 MONTPELLIER
fb/ studio411 / studio411galerie 
mail : studio411galerie@gmail.com

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Concours: édition 2018 de Miniartextil

Publié le 11 Février 2018 par Anaïs BERNARD dans appel à projets, concours

Concours: édition 2018 de Miniartextil

Miniartextil 2018 Sara ' humains.
C'est en ligne le nouvel avis de concours ouvert aux artistes du monde entier pour la nouvelle édition de l'exposition.
Thème sera humans, pour inviter tout le monde à une réflexion profonde sur nous-mêmes et tout ce qui nous entoure.
Après la recherche sur les frontières matérielles, psychologiques et géographiques avec borderline 2017, espace maintenant à l'attention profonde sur l'homme et son humanité.
Ici toutes les infos, l'avis et la fiche d'adhésion.

Il y a jusqu'au 30 avril pour envoyer sa candidature.

Le concours pour le nouveau miniartextil 2018 est maintenant disponible !
Le thème de la nouvelle édition sera l'homme, nous demandons aux artistes de prendre un sujet qui nécessite une réflexion sur eux-mêmes, leurs œuvres, leurs idées d'utopie, leurs rêves et leurs relations humaines et spirituelles.
Ici toutes les infos et le formulaire d'entrée 

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