Corps en Immersion

Présentation du projet

Persistance est un web docu-fiction qui unifie :

1)    une expérience-limite du jeu vidéo

2)    une performance artistique et une recherche scientifique

3)    une restitution interactive de 25 jours d’immersion intensive

4)    trois points de vue complémentaires : avatars-personnages,

       artiste-joueuse, observateur-chercheur

5)    XX heures de vidéos et photos saisies sur le vif

6)    une réflexion sincère et profonde ?

A l'origine : "Trip-in-Wow"

A l'origine du projet, un voyage hors du commun : s’exiler de sa vie quotidienne pour aller visiter les confins du cyberespace...

Le 5 Septembre 2010, l'artiste et cyber-performeuse Claire Sistach coupe tous ses moyens de communications habituels.

Elle s'enferme chez elle avec un bon stock de nourriture. Alors, elle peut plonger dans un monde accessible sur abonnement, celui du célèbre jeu vidéo massivement multi-joueur et persistant, World-of-Warcraft. 

Son objectif :  partir durant quatre semaines explorer un univers virtuel et social, et réduire ses activités au minimum vital pour pousser l'immersion à son maximum. Sa seule fenêtre sur le monde : un journal de bord vidéo adressé au jour le jour aux internautes. Son seul contact quotidien : un chercheur en sciences humaines qui suit ses aventures.

Ce qu’elle ne peut pas encore deviner, c’est combien l’exploration sera étrange, surprenante et parfois dure, jusqu’à son terme prématuré, le 2 Octobre 2010… 

L'œuvre Persistance

Persistance, empreinte d'une cyber-exploration est le web docu/fiction de l'aventure. Il a pour objectif de retracer les ressentis subjectifs du voyage virtuel par la documentation des relations au quotidien, la représentation de l’émergence de la vie des identités fictives, ainsi que la présentation d' un regard doublé par le témoignage d’un observateur extérieur, chercheur en communication.

Au fil des jours, y seront condensés et transformés les vidéos, sons, écrits et photographies issus de cette « cyber-exploration » pour offrir une analyse autant qu'une expérience esthétique à ses visiteurs, devenus témoins actifs d’un voyage rétrospectif, à la fois subjectif et objectivé, poétique et existentiel.

Concrètement, la dimension spatio-temporelle du dispositif s’inscrira dans un jeu de passe-passe entre une ligne temporelle navigable, et un espace 3D, où chaque face présentera un des quatre principaux axes de l'expérience avec :

1) le vécu subjectif de l’immersion, par le journal de bord vidéo de la cyber-exploratrice.

2) le vécu fictionnel au travers des avatars, avec le récit de leurs aventures.

3) les relations tramées par le biais d’un univers persistant, avec les interventions des internautes.

4) le regard d’un observateur extérieur : le scientifique, avec une chronique vidéo quotidienne.

L'équipe

L'équipe est composée de :

>> L'artiste et cyber-performeuse Claire Sistach (blog)

>> Le chercheur Etienne-Armand Amato (bio)

>> L'artiste et photographe Soizic Sanson (site)

>> L'acteur et écrivain Joël Mangeot

À quoi servira la collecte ?

Développement initial du projet :

La première partie du projet, sa maquette a pu être développée grace à un soutien de 6.000 euros du DICRéAM du CNC, reçu en 2011.

Aujourd'hui :

Concrètement, le traitement des médias, les montages vidéos, le travail de recherche, et l'univers graphique sont déjà bien avancés.

Mais alors que reste-t-il à faire ?

Eh bien, la finition des contenus et surtout le développement informatique !

Et donc...

Ainsi, si la production du projet estimée à 30.000 euros et en grande partie auto-financée, est déjà bien entammée, néanmoins, pour arriver à terme, et ne pas risquer si prêt du but de se retrouver avorté, le projet a besoin de 1.500 euros pour couvrir en partie les frais de développement restant...

Vous l'aurez donc compris : on a besoin de vous et de votre soutien !

Pour plus d'informations voici le lien !!!

Ces conférences explorent les liens complexes qu’entretiennent les sciences - en tant que créatrices de formes et de mondes - avec la fiction, et les projections imaginaires qu’elles suscitent dans l’art et la littérature, qui elles-mêmes font retour dans le monde scientifique.

Montréal, 25 avril 2013 - Chromatic, le festival artistique multidisciplinaire tenu parMASSIVart, propulse l’expérience offerte au public en offrant cinq jours de festivités et plusieurs nouveautés ; Chromatic Junior, une soirée Art Affaire et trois jours de visites libres de l’exposition. 

L'incontournable art party de Chromatic revient pour vous en mettre plein la vue le 18 mai prochain. La Fonderie Darling sera l’hôte de cette nuit à haute teneur en calories festives, où se s’entrelaceront musique, art et performances. Une trame sonore prometteuse en provenance de Montréal, New-York et Toronto assurera bon temps pour vos tympans et bonheur jusqu’aux petites heures : Capitaine Soldat, Aroara, Memoryhouse, TEEN, Rock Forest, High Klassified et Toast Dawg. Le festival envahit aussi l’extérieur de la Fonderie Darling, sur la rue Ottawa, avec des performances d’art en direct, un lounge où vidéos d’art et publications spécialisées feront rayonner ses créateurs, l’événement et ses partenaires. 

Les modèles sont nus, sans accessoires, le maquillage est minimaliste. Les photos sont prises sur fond noir. Il n'y a que les corps et les projections de lumière, parfois abstraites, parfois figuratives. Le résultat semble toujours surréaliste. Le style de Dani Olivier, présenté dans cet ouvrage, est unique. Ses nus abstraits ou psychédéliques sont totalement inédits et renouvellent l'art de la photo de nus.

D. Oliver, 2012, Nus abstraits et psychédéliques, ESI (Editions), prix: 8.00 euros.

“Do Not Touch” est un clip interactif qui utilise le curseur de votre souris, mais aussi celui des autres utilisateurs pour créer un clip vidéo participatif ! Le résultat de milliers de curseurs se déplaçant en même temps en suivant les instructions du clip est assez incroyable ! Ce clip interactif a été imaginé pour le titre “Kilo” du groupe Light Light par le studio de design Moniker.

A essayer tout de suite ici : Do Not Touch !

Botanicus Interacticus est une technologie pour concevoir des installations interactives de haute expression, à la fois vivants et artificiels. Poussé par la fusion rapide de calcul et des espaces de vie, nous prenons l'interaction de dispositifs informatiques et le place dans le monde physique en utilisant des plantes cures comme un média interactif.

Botanicus Interacticus a un certain nombre de propriétés uniques. Cette instrumentation de plantes vivantes est simple, non invasif, et n'endommage pas les plantes: il ne nécessite qu'un seul câble placé n'importe où dans le sol végétal. Botanicus Interacticus permet une interaction riche et expressif avec des plantes. Il permet d'utiliser de tels gestes que glisser les doigts sur la tige de l'orchidée, la détection et la localisation tactile compréhension, le suivi de proximité entre l'homme et la plante, et l'estimation de la quantité de contact tactile, entre autres.

En Interacticus Botanicus nous avons également déconstruire les propriétés électriques des plantes et de les reproduire en utilisant des composants électriques. Cela permet la conception d'une grande variété de plantes artificielles biologiquement inspirés qui se comportent à peu près la même chose que leurs homologues biologiques. Du point de vue de notre technologie, il n'ya pas de différence entre le réel et artificiel.

Botanicus Interacticus technologie peut être utilisée pour concevoir des environnements hautement interactives sensibles à base de plantes, le développement de nouvelles formes de matières organiques, des dispositifs d'interaction de vie ainsi que la création d'interfaces ambiante organique et envahissants.

ANTI/MATIÈRE, 14ème édition du festival international d’arts numériques Elektra, 1-5 mai 2013.

Rendez-vous incontournable de tous les amateurs d’arts et de cultures numériques, cette nouvelle édition réunit les œuvres marquantes d’artistes internationaux et des talents locaux. La programmation d’ELEKTRA met en lumière les contours multiples de l’art numérique, que ce soit sous forme de performances audiovisuelles multiécrans et d’installations (sonores, interactives, robotiques), ce à quoi s’ajoutent des rencontres de professionnels et des conférences-discussions.