Dans le cadre du cycle Hier c’était demain : science-fiction et imaginaires collectifs
Temps #1 : Planète interdite (anthropocène)
Au rythme des évolutions technologiques, notre environnement et nos modes de vie se modifient. On parle d’ailleurs d’« anthropocène » pour qualifier notre ère depuis que l’écosystème de la Terre est marqué par les activités humaines.
À l’aide des outils du design et de la science-fiction et avec la participation des étudiants du Master Design de l’Université de Strasbourg lors d’un atelier encadré par Gwenaëlle Bertrand et Maxime Favard, l’exposition Réalités Déplacées est une invitation à imaginer et à débattre de futurs probables.
Des micro-récits qui impliquent d’interroger l’alimentaire, les ressources naturelles, les changements climatiques, les flux migratoires, les technologies du quotidien, l’éducation ou encore l’économie du numérique par le prisme du projet de design et au regard d’une nécessité d’habiter autrement, d’appréhender d’autres mondes communs et d’autres hospitalités.
Hier c’était demain : science-fiction et imaginaires collectifs est le cycle thématique fil rouge de l’année 2019 au Shadok.
Concentrée autour du thème général de la science-fiction et de son impact sur la société, cette série d’événements mêle expositions, rencontres, ateliers, performances, résidences avec des créatifs, des artistes, des chercheurs, des auteurs de février à octobre.
Entrée libre – Tout public
Exposition du 13 février 2019 au 3 mars 2019.
aux heures d'ouvertures
Vernissage le mercredi 13 février à 19h
Commissariat et scénographie Gwenaëlle Bertrand et Maxime Favard.
Avec la participation des étudiants du master Design de la faculté des Arts et le Laboratoire ACCRA de l’université de Strasbourg : Adèle Ancel, Erwan Astier, Ombeline Battistin, Alexandre Del Volta, Manon Gratté, Alexandre Harster, François Kessler, Arthur Klein, Élisa Morath, François-Alexandre Mouton, Lucile Muths, Caroline Sutter, Héloïse Ulrich
En partenariat avec Maxence Grugier et le Shadok